La société de gestion des déchets nucléaires tient cette semaine des consultations à Montréal, Trois-Rivières et Québec pour trouver une communauté qui acceptera de recevoir les déchets nucléaires radioactifs hautement toxiques produits depuis 50 ans au Canada. Ces consultations ne sont que la dernière manifestation d’un mouvement de relance du nucléaire qui a été amorcé avec l’annonce de la réfection de la centrale Gentilly-II en août dernier. Les Québécois ont encore le temps de dire non.
De Sept-Îles à Bécancour en passant par le Nunavik, l’Abitibi ou Chibougamau, le nucléaire fait depuis quelques mois sa rentrée par la porte d’en arrière au Québec.
Pour un Québec libre du nucléaire
Collectif d’auteurs, Opinion, Le Devoir, 4 juin 2009
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