samedi 25 février 2017

Lui, y connaît ça!


* Est-ce suffisamment adéquat pour répondre à Preston Manning? Il faut dire que le populisme, c'était sa grande spécialité...

vendredi 24 février 2017

Chère diplomatie



D'ailleurs est-ce si cher payé, quand on pense à tous les avantages que cela a procuré à la Ville de Morial?

Autrement, cet argent-là aurait probablement été gaspillé dans des travaux de réfection ou d'entretien!

Au mieux, serait-il allé dans les poches de quelque prévaricateur favorisé. Une autre forme de diplomatie, quoi...

jeudi 23 février 2017

Elle avale, hein?


mercredi 22 février 2017

PQuessé?



La fin de semaine dernière, l'aile jeunesse du Parti québécois (PQ) était réunie en congrès. Parmi les résolutions, les participants ont voté contre la fameuse Charte des valeurs, ce qui – il faut bien le dire – avait donné lieu à un débat à la fois ridicule et stérile. Une bonne affaire de faite, donc.

Là où les choses sont devenues un peu plus kafkaïennes, c'est lorsqu'il fut question de l'imposition de la loi 101 au cégep. Rappelons pour mémoire – car la tendance actuelle est plutôt à l'amnésie collective sur cette question – que la loi 101, votée en 1977 par le gouvernement du PQ, visait à défendre l'usage du français au Québec et à en faire la promotion. Au fil des ans, ladite loi fut déplumée, comme l'alouette de la chanson, par la Cour suprême du CAnada et aussi par l'irrésolution des gouvernements successifs, en particulier libéraux; mais pas seulement, hélas.

Aujourd'hui, ce sont les jeunes du PQ eux-mêmes qui rejettent toute idée d'appliquer la loi 101 au cégep, c'est-à-dire de faire obligation aux étudiants non anglophones de mener leurs études supérieures dans des établissements francophones. Frigorifiés à l'idée de lancer un débat qui puisse «diviser» – on se demande un peu ce qu'ils foutent en politique, dans ce cas – , les jeunes ont voté en majorité contre l'idée.

Il va sans dire que tout un chacun se fût attendu que le Parti libéral du Québec (PLiQ) ou sa succursale, ma CAQ (Coalition avenir Québec), aient adopté cette ligne de conduite. La chose n'eût guère surpris non plus de la part de Québec solidaire. Mais que le PQ en vienne à tourner ainsi le dos à sa propre loi, cela donne une riche idée du degré de militantisme de son aile jeunesse et de l'avenir de ce parti.

De nos jours, c'est ma CAQ qui peine à se démarquer du PLiQ et du PQ. Demain, ce sera le PQ qui aura toutes les difficultés à se distinguer des deux autres.

mardi 21 février 2017

Y est parfait!


lundi 20 février 2017

La naphtaline peut-elle casser des briques?



Samedi soir, l'ancien premier ministre cAnadien, M. Brian Mulroney, était reçu à la Maison-Blanche du sud, c'est-à-dire à Mar-a-Largo, en Floride, où Donald Trompe, le président des Stazunis, bat en retraite toutes les fins de semaine, probablement parce que, après 4 semaines, il est complètement dépassé par la réalité de Washington.

Quoi qu'il en soit, un événement avait été organisée pour venir en aide à un organisme à but non lucratif – ou sans but… lucratif – et M. Mulroney, qui avait œuvré en coulisse depuis quelque temps afin de faciliter les relations cAnado-yankees, y avait été invité.

Au cours de la soirée, l'occasion a été donnée à M. Mulroney de faire valoir sa glotte et, de sa voix chaude et caressante, il a entonné une nouvelle fois son grand succès When Irish Eyes Are Smiling. On se souvient qu'il avait interprété cette chanson en 1985 pour le président yankee d'alors Ronald Reagan.

On dit que la musique adoucit les mœurs. N'empêche, sortir Brian Mulroney de la naphtaline pour plaire au Narcisse de Washington, ça ne casse pas des briques...