N’importe qui vous le dira.
L’avantage d’avoir un stade
couvert, c’est qu’on peut y jouer n’importe quand, en faisant fi des intempéries. Pluie, grêle, neige, vent, rien ne peut empêcher les athlètes de
«donner leur 110 %»
Enfin, la chose est vraie partout dans le monde, sauf à
Montréal. Dans ce dernier cas, compte tenu de la piètre qualité de l’édifice et de la vétusté
des matériaux, il est interdit de tenir un événement au stade olympique lors
d’une chute de neige de plus de 3 cm.
Bref, le stade couvert, ici, ne peut servir que lorsqu’il
fait beau et chaud. L’avantage majeur d’avoir un stade couvert est alors qu’on n’est pas distrait de la
performance des athlètes par le soleil, pas plus que par les étoiles.