vendredi 12 décembre 2014
Justice sera faite!
Il était temps que le système judiciaire «mette ses culottes», comme on dit, et que le dossier de l'agente Stéphanie Trudeau soit enfin traité avec toute l'objectivité qu'il mérite.
Désormais, les accusations portées contre cette digne représentante des forces de l'ordre seront atténuées, pavant la voie à une exonération presque entière.
Quant à ceux qui songeraient à protester contre ce que de méchantes langues qualifieraient de «traitement de faveur», puis-je me permettre de souligner que la matricule 728 n'a jamais laissé que des survivants dans son sillage.
jeudi 11 décembre 2014
Qu'à jamais, il patine
Beaucoup a été dit ou fait à l'occasion du trépas inopiné du «Gros Bill», comme on surnommait avec affection Jean Béliveau.
Aucun hommage n'a été ménagé ni tempéré afin d'honorer la mémoire de celui qui nous a quittés. En effet, qui ne connaît les nombreuses contributions de Jean Béliveau à la société québécoise? Et qui pourrait dire qu'elles n'ont pas eu un impact énorme sur nos vies, ayant ainsi durablement eu part à notre mieux-être collectif?
Énumérons-les ici, si vous le voulez bien.
D'abord, Jean Béliveau patinait. Il le faisait admirablement sur la glace, tout en poussant un imposant morceau de caoutchouc.
Ensuite, il patinait aussi en tant que relationniste, ce qu'il fit après qu'il eut pris sa retraite du hockey; sans bout de caoutchouc, désormais, pour autant que je me souvienne.
En conclusion, Jean Béliveau présentait tous les traits d'un héros national de légende, tel qu'on les aime. Il n'était jamais intervenu sur le plan social, politique, national ou économique. Il n'avait jamais embarrassé le moindre gouvernement; jamais contesté quoi que ce soit; jamais remis la moindre injustice en question.
Bon séjour au paradis, Gros Bill, et donne une belle patine aux nuages.
Aucun hommage n'a été ménagé ni tempéré afin d'honorer la mémoire de celui qui nous a quittés. En effet, qui ne connaît les nombreuses contributions de Jean Béliveau à la société québécoise? Et qui pourrait dire qu'elles n'ont pas eu un impact énorme sur nos vies, ayant ainsi durablement eu part à notre mieux-être collectif?
Énumérons-les ici, si vous le voulez bien.
D'abord, Jean Béliveau patinait. Il le faisait admirablement sur la glace, tout en poussant un imposant morceau de caoutchouc.
Ensuite, il patinait aussi en tant que relationniste, ce qu'il fit après qu'il eut pris sa retraite du hockey; sans bout de caoutchouc, désormais, pour autant que je me souvienne.
En conclusion, Jean Béliveau présentait tous les traits d'un héros national de légende, tel qu'on les aime. Il n'était jamais intervenu sur le plan social, politique, national ou économique. Il n'avait jamais embarrassé le moindre gouvernement; jamais contesté quoi que ce soit; jamais remis la moindre injustice en question.
Bon séjour au paradis, Gros Bill, et donne une belle patine aux nuages.
mercredi 10 décembre 2014
Tort dur
Les Stazunis ont publié un rapport portant sur les méthodes de torture utilisées par la nébuleuse du renseignement yankee.
Comme ce pays ne fait rien comme tout le monde, il a mis en alerte ses installations un peu partout dans le monde, car le gouvernement craint des réactions violentes à la publication dudit rapport. On ne peut être davantage décalé par rapport à la réalité.
Voilà des années que la planète tout entière a été mise au courant des méthodes fascistes de cet État prétendument de droit et démocratique. Le pire qui pouvait se produire en réaction à la barbarie yankee est déjà arrivé.
On n'a pas fini d'en voir, des Al-Quaïda et des Daesch...
mardi 9 décembre 2014
La s****e!
Après nous avoir pompé plus de 800 000 $ pour se gaver, elle et son garde du corps, et sa famille, et alouette, elle nous aura coûté en plus une beurrée en procédures judiciaires pendant des mois et des mois. Bref, son passage à la tête de l'État (sic: les lieutenants-gouverneurs, à titre de sous-représentants de la reine, sont en fait les chefs de l'État) québécois a sûrement dépassé largement le million. Pas à dire, le fédéralisme parlementaire à la britannique est des plus rentables!
Hier, Mme Lise Thibault, ex-lieutenant-gouverneur du Québec, et actuelle convaincue de fraude, concussion et fausse représentation, a fini par reconnaître sa culpabilité en cour. Fallait-il que ladite culpabilité soit évidente pour que cette personne se trouve finalement acculée, au bout de ses manœuvres légales dilatoires, aux aveux.
Bon, je ne m'étendrai pas sur le terme censuré en titre. Si vous voulez en imaginer un, je vous laisse libre; un seul indice, ce n'est ni «silphe» ni «sylphe».
lundi 8 décembre 2014
Re-vu
En fait, je ne vois pas ce que la nouvelle a de si extraordinaire. Voilà plusieurs années que M. el-Assad est abonné.
dimanche 7 décembre 2014
C'est le temps
Un classique du cinéma qu'un esprit généreux a bien voulu mettre en ligne récemment. Ni un drame (arrgh!) ni un film d'action (bang!), il s'agit d'une comédie.
Pas de celles où on affecte de rire de gags télégraphiés, comme on en voit tellement de nos jours à l'écran comme à la scène, mais quelque chose qui a vieilli comme le bon vin et qui fait encore sourire.
Avec un peu de chance, le même esprit généreux nous gratifiera un de ces jours prochains des Pique-assiette. Enfin, on verra.
Pour l'heure, voici Le temps des œufs durs, avec mon plaisir coupable de toujours, Darry Cowl.
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