samedi 9 mai 2020

Juste le mot juste

Alors, le mot que je cherchais, hier après-midi pour mon Scrabble, c’était «macaque».

En deux syllabes: ma-CAQ.

Oups! Quelle coquille!

Je voulais dire: ma-CAQue.

Comme, euh… Je ne sais pas, moi. Comme «CAQ» avec «ue» à la fin.

N’allez rien voir là-dedans, surtout. Je dis ça simplement à titre de comparaison.



vendredi 8 mai 2020

En piste! On dépiste!

* C'est pour mon Scrabble en solitaire.


Eh bien, voilà; je ne sais plus. Je n'arrive plus à voir si c’est orwellien ou kafkaïen.

Alors, nous en sommes à deux mois de confinement et encore au point où on ne sait pas trop si l’épidémie achève ou non. En fait, on ne sait rien, parce qu’on a entendu tout et son contraire. Là-dessus, je ne vous fais pas le résumé; vous le connaissez déjà par cœur.

Bref, au bout de huit semaines, on nage encore dans le brouillard. Mais, pour la première fois depuis une soixantaine de jours, quelqu’un, quelque part, a décidé que ce ne serait peut-être pas aussi idiot qu’on serait en droit de le penser de faire un dépistage pour aider à traiter au moins un des points chauds de la Covid-19.


Si c’est un début, c’est très bien. Mais si on ne dépiste pas dans d’autres secteurs, on ne pourra faire aucune estimation. Comment savoir si c’est pire ou mieux qu’ailleurs?

Vous voyez, c’est en établissant des comparaisons, entre autres choses, que le savoir avance.

Ainsi, en voici une, de comparaison: «Nos dirigeants ont parfois l’air d’agir comme des…»

Allez le bleu!



Ce que le bon docteur Arruda semble oublier, c’est qu’on n’entend jamais les gérants d’estrade quand leur équipe marque des points.

Par contre, quand elle cafouille à la ligne bleue à longueur de partie…


jeudi 7 mai 2020

Exceptionnalisme yankee*



L'exceptionnalisme est ce qui fait qu'une nation se distingue des autres, toujours pour le mieux. C'est un outil de propagande incomparable, plus qu'une réalité palpable.




* https://fr.wikipedia.org/wiki/Exceptionnalisme_am%C3%A9ricain

Goût du risque






mercredi 6 mai 2020

La réalité dépasse l’affliction

https://www.lapresse.ca/covid-19/202005/05/01-5272316-hausse-marquee-des-empoisonnements-aux-desinfectants-au-canada.php


Dans une chronique récente, je m’étais permis une sortie sarcastique dans laquelle je décrivais une situation imaginaire où des gens se présentaient aux urgences hospitalières après avoir ingéré divers désinfectants.

Évidemment, la blague tenait pour acquis que personne n’irait à cet extrême, surtout en songeant que la recommandation provenait d’un idiot patenté et d’un menteur compulsif.

Eh bien, fini de rire, mes gaillards! Car le nombre de cas d’empoisonnement avec des désinfectants a connu une hausse de 58% au CAnada.

Que des gens soient assez obtus pour suivre les recommandations de Donald Trompe me sidère déjà. Là où je suis complètement soufflé, c’est que, même en temps normal, il se trouve des contemporains qui s’empoisonnent avec des produits ménagers.

Enfin, quand je dis «normal», c’est une façon de parler…

L’abbé des cochons

http://www.wikistrike.com/2020/05/coup-d-etat-dejoue-par-le-venezuela.html


Il y a de ces traditions qui restent. Prenez l’attitude des Yankees face à leur glacis sud-américain.

En avril 1961, une troupe de 1400 exilés cubains équipés par les Stazunis débarquait à Playa Giron, à Cuba, lieu appelé Baie des cochons en français. L’attaque fut repoussée par les forces castristes et l’opération vira au désastre.

Rendons hommage à la lourdeur de l’esprit yankee qui ne semble jamais apprendre de ses gaffes. En effet, le 3 mai dernier, un groupe de 300 paramilitaires vénézuéliens a tenté de débarquer à proximité de Caracas afin de renverser le régime socialiste du président Maduro. Le groupe d’agresseurs fut lui aussi repoussé au terme d’une opération encore plus bâclée que celle de la Baie des cochons. Et pourtant ce ne furent pas les tentatives de déstabilisation – chapeautées par Juan Guaido, le faux président autoproclamé – qui manquèrent juste avant l’invasion.

Décidément, les impérialistes ont de bien piètres servants de messe. Comment peut-il en être autrement, avec de si mauvais maîtres?

mardi 5 mai 2020

Montréal vue du sol


En pleine gueule

https://fr.wikipedia.org/wiki/Pand%C3%A9mie_de_Covid-19_par_pays


Ça ne vous a pas frappé? Moi, si. Et en pleine gueule, encore!

Faites le compte des pays les plus durement touchés par l’omniprésent virus. Dans l'ordre: Stazunis, Espagne, Italie, Royaume-Uni, Allemagne et France. Tous des pays considérés comme riches. Bon d’accord, pas tous aussi riches les uns que les autres. Mais si on considère la planète dans sa totalité, ils font tous partie du peloton de tête.

Pour le meilleur comme pour le pire.

Évidemment, me direz-vous, ce n’est pas étonnant qu’ils comptent parmi les plus touchés. Ils ont les moyens de dépister les malades et ils contrôlent les grands médias de masse, de sorte qu’il n’y a qu’eux dont on entend parler.

C’est vrai. Quand même, on peut se demander à quoi sert leur pognon s’ils ne sont pas capables de faire face à une épidémie sans en subir des contrecoups majeurs. Avec tout cet argent, ils n’ont pas pu trouver les masques nécessaires, les tests de dépistage et suffisamment de places dans les hôpitaux pour rendre efficace un confinement?

Bref, à quoi ça sert avoir du pognon si ça ne garde pas en santé?

Tout d’abord, ce qui est frappant, c’est que, après qu’on l’a gagné, ça n’est déjà plus vraiment notre pognon.

Et ensuite, tout ça semble bien fait pour notre gueule.

dimanche 3 mai 2020

Effets secondaires


Santé!

Doctor WHO

Tom Baker dans le rôle de Doctor Who
Dans un article assez révélateur, en anglais seulement pour l'instant, Michel Chossudovsky lance une mise en garde. Déjà – ce en quoi il a probablement raison –, il flaire une gigantesque arnaque au vaccin, pareille à celle dont nous avons été victimes en 2009. Un vol qui a profité aux pharmaceutiques, avec bien entendu la complicité de l’Organisation mondiale de la santé (WHO, en anglais). Indirectement, ce sont des décideurs au sein de cette organisation qui s’en sont également mis plein les poches. 

D’abord, en annonçant qu’un virus de la grippe (le fameux H1N1) allait contaminer des milliards de personnes et causer la mort de centaines de milliers de gens si un vaccin n’était pas immédiatement distribué à l’ensemble de la planète. Puis, à 10$ la dose, inutile de préciser que les pharmaceutiques ont réalisé l'escroquerie du siècle.

Eh bien, ce siècle a été bref, car on nous prépare le même scénario dans le sillage de la Covid-19, ce qui permettra aux pharmaceutiques de refaire le coup dans quelques mois.

Et n’oubliez pas: jamais deux sans trois.



P.-S. Qui a dit que la santé n’avait pas de prix?