Jonathan Mountpetty sur le site de Vigile Québec* |
Peu de gens le savent, au Québec, mais récemment Facebook a fermé les pages de certains groupements d’extrême droite au CAnada. Il en a été ainsi du Canadian Nationalist Front, d’Aryan Strikeforce, de Wolves of Odin et de Soldiers of Odin, entre autres.
Les gens à l’esprit ouvert, au CAnada, une fois revenus du choc que leur a causé une telle initiative, se demandent maintenant pourquoi Facebook n’a, à ce jour, censuré aucune page de groupement de droite du Québec.
Deux explications semblent être privilégiées, tout au moins par le journaliste de CBC Jonathan Montpetit (prononcer «Mount-petty»). D’une part ce serait peut-être parce que Facebook ne possède pas une maîtrise suffisante du français pour pouvoir reconnaître les pages promouvant un discours de droite. De l’autre, ce serait parce que le Québec bénéficie d’un traitement de faveur, ce qui est, laisse-t-on entendre de manière implicite, la pire des injustices.
Évidemment, personne ne soulève que, peut-être – et ceci dit sous toute réserve –, l’extrême droite cAnadienne appelle plus volontiers à l’usage de la violence, ce qui en fait de facto une cible privilégiée de la censure.
Mais la véritable explication est que le fondateur de Facebook, Mark Zuckerberg, a utilisé ce nom en public afin de masquer sa véritable identité. Son nom est Marc Tétreault et il est originaire de l’Abord-à-Plouffe. Il a ensuite été étudier aux Stazunis et le reste de l’histoire est connu. En conséquence, Facebook, la scène où il évolue le mieux, a effectivement un préjugé favorable pour tout ce qui émane du Québec.
Comment se fait-il que tout cela ne soit mentionné nulle part dans sa biographie? Et comment se fait-il que je sois le seul à connaître ses origines, ainsi que son véritable patronyme de Tétreault?
T’es trop curieux, tu le sauras pas!
* Veuillez noter que le site de Vigile Québec commence à souffrir d'une dérive de droite dans certaines de ses prises de position, de sorte que le présent blogue ne le consulte qu'à titre indicatif, tout comme il le fait pour La Presse, ce qui ne saurait en aucun cas être interprété comme un appui de quelque manière que ce soit de sa part.