samedi 21 novembre 2020

Quand qu'il se taira? Marre!*

 



* Oh, là, là, quel esprit! Parce que ça fait un calembour avec «terramare» et que tous les engrais se ressemblent.


vendredi 20 novembre 2020

On va s'amuser une tache!

 


jeudi 19 novembre 2020

Et ma nulle, là

 



Mme Emmanuella Lambropoulos, à bout d’excuses, a décidé de céder son siège au Comité permanent des langues officielles. En effet, après sa mauvaise intervention de l’autre jour, elle a compris qu’il valait mieux retourner sur son arrière-banc afin de s’y faire oublier et ainsi renouer avec son état premier.


Brave petite, va.


Et en plus, elle a annoncé cette décision dans une autre langue officielle que l’anglais. C’est intéressant, ça: c’est quand elle commence à parler français qu’elle cesse de dire des conneries.


Avis aux CAnadiens…



Occis dedans

 



Dernièrement, le gouvernement stazunien – ou à tout le moins ce qui en reste – a annoncé que 2000 soldats yankees allaient être retirés d’Afghanistan d’ici le 15 janvier. Ce n’est pas la première fois qu’une telle annonce est faite depuis l’invasion de 2001 et aucune n’a été suivie d’effets notables.


Cependant, cette fois serait la bonne, paraît-il. En tout cas, de hauts responsables afghans ont salué l’annonce et ont mentionné qu'un retrait allait constituer un pas en direction d’une paix durable dans le pays. Évidemment, le fait que ces éloges proviennent d’un porte-parole des talibans prend sans doute le haut commandement yankee à rebrousse-poil. Mais, depuis le temps que les généraux occidentaux pataugent dans ce bourbier, un petit fion de plus ou de moins ne fera plus guère de différence.


Maintenant, si les Australiens pouvaient foutre le camp de ce pays également, les Afghans dormiraient sans doute plus tranquilles.





mercredi 18 novembre 2020

Chère surenchère 2.0

 



On se souviendra que l’alliance pharmacologique entre la stazunienne Pfizer et l’allemande BioNTech avait annoncé il y a peu le développement d’un vaccin «efficace à 90%». Seul bémol, ledit vaccin devait être conservé à une température de -70°C, ce qui compliquait un peu la logistique; mais, en temps de pandémie, qui a le temps d’accorder de l’importance à ce genre de détail?


Lundi dernier, la société Moderna, yankee elle aussi, annonçait non sans fierté qu’elle avait produit un autre vaccin, efficace à 94,5% celui-là, lequel pouvait se conserver entre 2°C et 8°C, soit la température à l’intérieur de votre réfrigérateur, ce qui simplifiait grandement sa distribution.


Coup de théâtre, ce matin, alors que Pfizer indique, une fois les résultats complets de son essai clinique analysés, que l’efficacité de son vaccin est de 95%, ce qui présente un avantage notable à peine mitigé par les problèmes relatifs au transport du médicament. 


Je suppose que Moderna est à la veille de révéler sous peu que, en réalité, son vaccin est efficace à 96,5%…


Évidemment, nous allons tous les croire sur parole, jusques et y compris quand ils affirment que leur médication est totalement inoffensive. 


C’est avec raison que l’industrie pharmacologique bénéficie d’une grande crédibilité auprès du public.


lundi 16 novembre 2020

Chère surenchère

Décidément, quel que soit le domaine, on n’échappe jamais à la surenchère, qu’il s’agisse d’économie, de politique ou des arts. Cette fois, c’est le domaine de la santé qui est en cause.

On se souviendra que, en septembre, la compagnie chinoise Sinovac avait été la première à annoncer le développement d’un vaccin contre la Covid-19 efficace à 90 %. Elle a été suivie de près, un mois plus tard, par l’annonce russe du vaccin Spoutnik V.

Pour ne pas être en reste, la société yankee Pfizer, il y a quelques jours, a annoncé que, elle aussi, avait développé un vaccin efficace à 90 %. Aujourd’hui, c’est la société Moderna, tout autant yankee, qui annonce avoir créé un vaccin, efficace celui-là à 94,5%.

Comme si ce n’était pas assez, il existe même une entreprise du Québec qui a confirmé qu’elle testait en phase 3 son propre vaccin, lequel, jusqu’à maintenant, est efficace à 100%.

Quelle sera la prochaine étape? Un autre vaccin contre la Covid-19 qui prévient en plus contre l’halitose et le goitre?


dimanche 15 novembre 2020

Québec solitaire (et pour longtemps)




Vieux motard

 



Une sous-fifre d’arrière-banc du Parti libéral du CAnada (PLiC), Mme Emmanuella Lambropoulos, s’est mis les pieds dans le plat, dernièrement.


Lors de sa prise de parole dans sa langue maternelle – l’anglais, évidemment – au Comité permanent des langues officielles, elle a exprimé des doutes relativement au déclin de la langue française au Québec. Outre la mauvaise foi ou l’ignorance crasse, on est en droit de se demander sur quoi se basaient les doutes de Mme Lambropoulos. Peut-être regrettait-elle tout simplement la lenteur du processus.


Compte tenu du fait que ses opinions sur la question entraient en conflit avec la teneur du discours du trône de son patron, le fils de Pierre Elliott Trudeau, la députée de Saint-Laurent a exprimé des regrets relativement à sa sortie, depuis. 


Vaut mieux tard…


D’où la contrepèterie* du titre.






* Une contrepèterie est une inversion des lettres ou des syllabes de manière à produire un sens différent, de préférence burlesque ou grivois, s’il faut en croire le dictionnaire Robert. Il est à noter qu’un homonyme, un paronyme, un jeu de mots ou un calembour ne sont pas des contrepèteries; encore moins des injures du genre «ta gueule, pauvre conne», ces dernières n’étant jamais de mise dans une publication honorable comme la nôtre.