jeudi 10 janvier 2019

Maxime mise les risques


Rat-6


mercredi 9 janvier 2019

Chassé, la naturelle



C’est avec une déception sans borne que nous avons appris le remplacement de la ministre de l’Environnement du Québec, Mme MarieChantal Chassé. En effet, le premier ministre, le gars Legault de ma CAQ, a décidé de donner son portefeuille à un certain Benoît Charette.

Nous tenons à a souligner à quel point ce départ attriste la rédaction de notre blogue. En effet, égale en ceci à tous les ministres de l’Environnement, qu’ils soient québécois, cAnadiens ou autres, Mme Chassé avait fait preuve dans ce domaine de la plus totale incompétence, de sorte qu’elle s’était hissée au sommet de sa discipline, répondant en cela aux attentes qu’on avait à son endroit.

Mais ce qui nous manquera le plus, dans ce profond vide qu’elle laissera derrière elle, c’est que, véritable figure de proue se situant dans la droite ligne de la politique de légalisation du cannabis, Mme Chassé était de toute évidence gelée comme une balle 24 heures sur 24, ce en quoi elle constituait à elle seule une vitrine de première importance favorisant le lancement de ce nouveau monopole provincial.

On espère la retrouver bientôt responsable à l’accueil dans une succursale de la SQDC.

mardi 8 janvier 2019

N’a que bas étage



Comme on sait, en 1948, l’État d’Israël voyait le jour. Dès qu’il se fut emparé de territoires qui ne lui appartenaient pas au cours de la guerre qui suivit, il expulsa de ses nouvelles frontières 750 000 des 900 000 Palestiniens qui y vivaient. C’est ce que ces derniers – leurs descendants, en fait – appellent encore aujourd’hui la «Nakba», c’est-à-dire la catastrophe. Depuis, ces Palestiniens déracinés vivent en exil, bien souvent dans des conditions difficiles, et nombre d’entre eux sont désargentés de telle sorte que les États qui les ont accueillis ont dû faire face à quantité de frais afférents à leur arrivée, bien souvent à contrecœur.

On a appris dernièrement qu’Israël a décidé de présenter une demande de compensation à 9 pays arabes et à l’Iran afin de rembourser les pertes qu’avaient subies les Juifs que ces pays avaient expulsés en représailles des exactions imposées aux Palestiniens au moment de l’invasion israélienne. Le plus sérieusement du monde, le gouvernement hébreu avait fait appel à un cabinet d’experts comptables internationaux afin d’évaluer le montant de cette réclamation. Le chiffre est tombé récemment: 250 milliards de dollars (US, peut-on imaginer).

On se demande, dans l’éventualité – fort improbable par ailleurs – que les pays concernés accepteraient de payer la facture, à quoi ce montant astronomique serait consacré.

Peut-être financer la construction d’autres colonies juives illégales en Cisjordanie?



lundi 7 janvier 2019