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On ne donnait pas cher de la rencontre au sommet en Alaska entre le président des Stazunis et celui de la Russie concernant la guerre en Ukraine. Et les attentes n'ont pas été déçues. C'est donc sans surprise que la recherche d'un cessez-le-feu prônée par M. Donul Trompe fut un échec lamentable, comme tout ce qu'il touche.
Dès lors, les belligérants ont poursuivi les combats comme si de rien n'était. M. Trompe déclare maintenant chercher à établir une paix définitive entre Moscou et Kiev. Que faut-il comprendre de cette nouvelle rodomontade? Qu'une fois la paix signée, les deux pays pourront continuer à se foutre sur la gueule?
Il n'y a pas à dire, la diplomatie stazunienne actuelle a un petit côté morbide.
Surtout bide.

Comme vous savez, Québec solidaire (QS) avait appuyé indirectement un seul des candidats ayant participé personnellement et physiquement à l'élection partielle dans la circonscription Arthabaska-L'Érable.
Il s'agissait de M. Éric Duhaime, chef du Parti conservateur du Québec (PCQ) contre qui, entre autres choses, le Parti québécois (PQ) désirait faire barrage afin d'empêcher la droite dure de faire son entrée à l'Assemblée nationale.
Cela avait provoqué une très vive réaction de la part de QS – sur Facebook, c'est tout dire – afin de critiquer l'attitude de son plus grand rival: le parti souverainiste de centre gauche se trouvant de la sorte aux antipodes de son action politique.
Au lendemain du scrutin, le bilan est sombre. Tout d'abord, son candidat préféré – M. Duhaime – a raté son entrée au salon bleu. De l'autre, le pourcentage du vote populaire fut pitoyable pour QS, parfois surnommé le «NDP provincial» – «NDP» pour Nouveau Démocratic Party – qui a récolté moins de 2% des suffrages exprimés.
Qui eût cru qu'une tartufferie qui dure, comme celle de Québec solidaire, depuis des années eût pu connaître un revers aussi soudain que brutal? Mais ce n'était qu'une élection partielle; attendons de voir la totale...