samedi 11 mars 2017

Erreurs en Syrie


http://www.globalresearch.ca/trump-invades-syria/5578671


En v'là t'y pas une que les médias ont oublié de mentionner, dernièrement. On sait à quel point ils sont prompts à blâmer les rivaux des Stazunis chaque fois que ces méchants communissizlamiss posent le moindre geste qui les éloigne d'une reddition pleine et entière. À l'inverse, quand ce sont les Yankees qui  poussent le bouchon trop loin, et ce, de manière indéfendable, c'est toujours le silence radio presque total.

Tout de même, il se glisse parfois dans la presse quelque article qui demeure la plupart du temps ignoré. Le dernier opus concerne la Syrie et la Maison Blanche. Banal, me direz-vous avec raison; sauf que, cette fois, il s'agit de rien de moins qu'une dangereuse escalade aux conséquences potentiellement majeures.

En effet, la présidence Trompe a envoyé en Syrie des troupes yankees. Rien de moins! Le 8 mars dernier, le Washington Post révélait que des Marines appartenant à un bataillon de la 11e unité expéditionnaire, avec de l'artillerie, étaient entrés en territoire syrien afin d'appuyer leurs alliés arabes et kurdes des forces rebelles dites «modérées» dans leur tentative de libérer la ville de Raqqa avant que le régime de Bachar al-Assad puisse le faire.

Est-il nécessaire de souligner que cette intervention militaire a été menée sans l'autorisation du Congrès stazunien? Sans non plus l'autorisation de l'ONU? Et encore moins celle du gouvernement de Damas? Bref, tout faux de la part de M. Donald Trompe. 

Mais là n'est pas le véritable problème. Le problème, c'est que, si les troupes yankees s'incrustent là-bas, qui les en délogera? Et comment? On peut toujours rêver et s'imaginer que les Yankees deviendront raisonnables et finiront par partir d'eux-mêmes. Mais l'exemple irakien nous pousse à penser le contraire. Alors quoi? Une autre guerre au Proche-Orient, avec la Syrie, cette fois, en plus de l'Irak et du Yémen?

Décidément, l'administration Trompe n'en rate pas une dans sa série d'erreurs…

vendredi 10 mars 2017

Méo Dalot


jeudi 9 mars 2017

Fausse nouvelle



Wikileaks vient de se discréditer totalement. En effet, l'organisation a publié dernièrement de prétendues archives secrètes de la CIA (Counter Intelligence Agency). Or, l'étude de ces «documents» démontre de manière évidente qu'il s'agit de faux, probablement inventés de toutes pièces par l'organisme, lequel, depuis les poursuites dont a fait l'objet son fondateur, cherche en vain à se bâtir une crédibilité.

Parmi les éléments qui donnent à douter de leur authenticité, notons en particulier le prétendu organigramme de l'Agence où on remarque en bonne place un certain «Center for Cyber Intelligence» (CCI) relevant, laisse-t-on croire, du «Directorate of Digital Innovation» (DDI).

Or, comme on peut s'en douter rien qu'à la lecture du nom, ce service n'existe pas du tout. Il s'agit d'une pure invention qui n'a été intégrée à l'organigramme que pour abuser le néophyte.

C'est la vérité, je vous assure.

mercredi 8 mars 2017

mardi 7 mars 2017

Argent gaspillé


Freeland fieffée fildefériste funambule



La ministre des Affaires étrangères cAnadienne, Mme Chrystia Freeland, la version virile de Stéphane Dion, s'est engagée sur un terrain glissant, ce lundi.

En effet, elle a mis en garde son pays à l'effet que la Russie – toujours elle et pas une autre superpuissance plus proche – pourrait s'ingérer dans la politique cAnadienne. Il faut dire que gouvernement d'Ottawa considérerait effectivement extraordinaire qu'une autre nation lui impose une marche à suivre, alors que c'est plutôt lui qui le fait d'ordinaire.

Bref, Mme Freeland a semble-t-il fait allusion à l'ingérence de Moscou dans le déroulement des élections présidentielles yankees afin de livrer son avertissement, affirmant cependant du même souffle que la démocratie cAnadienne était forte et que, en conséquence, cette dernière n'avait pas grand-chose à craindre. Ce qui, en définitive, nous laisse quelque peu perplexe quant à l'opportunité de la déclaration.

Mais passons.

La sortie de Mme Freeland représente tout de même une initiative risquée quant à la suite des relations CAnada-Stazunis. En effet, elle laisse croire que l'élection du nouveau président a été faussée par un pays étranger, jetant ainsi un doute quant à la légitimité de la présence de Donald Trompe à la Maison Blanche.

À force de se livrer à des numéros de voltige comme celui-là, c'est à se demander si elle pourra à nouveau montrer son visage à Washington.

lundi 6 mars 2017

Massé, c'est assez!



Manon Massé, qu'on voyait et entendait de plus en plus, dernièrement, à l'occasion des sorties de Québec solitaire (QS), ce parti social-démocrate si peu intéressé par les questions relatives aux rapports de force socioéconomiques, nous a gratifiés d'une importante nouvelle, hier.

En effet, Mme Massé a annoncé à ses partisans qu'elle aspirait à devenir porte-parole de QS. La chose m'a laissé un peu perplexe, puisque personne, jamais, n'a eu l'impression qu'elle n'était pas, elle aussi, porte-parole de cette formation politique.

Mais passons.

En réalité, son intention n'est pas de devenir porte-parole. Elle désire devenir co-porte-parole – beaucoup de traits d'union pour rien – de QS. À moins que, et ce, afin de commencer au bas de l'échelle de cette fonction capitale de la scène politique québécoise, elle se contente du statut de vice-co-porte-parole assistante adjointe.

L'avenir nous le dira.