On se demande pourquoi le fils de Pierre Elliott Trudeau a besoin de légaliser l'usage de la marijuana. Il est toujours en voyage, de toute façon...
samedi 17 février 2018
vendredi 16 février 2018
jeudi 15 février 2018
Méta-impérialisme
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C’est une caractéristique de l’impérialisme que d’être exclusif. Le but de l’exercice est bien entendu de ne laisser au sommet de la pyramide des nations qu’un seul maître du jeu. Lorsqu’il y a plusieurs prétendants, il y a toujours par le fait même de la bisbille. Oh! trois fois rien! Une petite guerre mondiale ici; une autre, là; une gentille guerre froide, ensuite. Trois fois rien, vous dis-je.
Depuis 1991, ce sont les Stazunis qui se trouvent au pinacle et, pendant des années, ils ont été incontestés dans leur prédominance. Un triomphe pour les héritiers de Roosevelt; pas Franklin D., mais bien Theodore. Cependant, dernièrement, de mauvais joueurs comme la Chine et la Russie trouvent que les Yankees en prennent un peu trop large et commencent à renâcler. En soi, il n’est pas étonnant de retrouver des jaloux un peu partout. Les gens sont tellement mesquins…
Là où le bât blesse, cependant, c’est que l’écrasante prépondérance US semble aussi faire des jaloux à l’intérieur. Il semble qu’il ne soit pas suffisant de faire partie de la première hyper-puissance de la planète, encore faut-il savoir qui sera au sommet de ladite hyper-puissance. C’est en quelque sorte un impérialisme au carré ou un méta-impérialisme, comme vous voudrez.
D’étranges incidents se sont produits aux Stazunis depuis quelque temps, lesquels impliquent les services de sécurité. Des attaques à main armée qui ont fait des victimes et qu’on a négligé – une fois n’est pas coutume – d’imputer à des groupes terroristes islamiques. Cette guerre de l’ombre est-elle signe que la démocratie yankee ne serait qu’une façade? Les luttes de pouvoir au sein de l’«État profond» seraient-elles la preuve qu’elle est bel et bien morte?
Il est vrai qu’à force de la refuser aux autres, on en a moins besoin…
mercredi 14 février 2018
mardi 13 février 2018
Pot pas de poutre
Le CAnada souffre d’un grave cas de poutre dans l’œil. Vous savez à quoi je fais référence; dans le Nouveau testament, il s'agit de l’histoire racontée par le mythique petit Jésus à propos de ces gens qui dénoncent la paille dans l’œil du prochain (aïe!) en ignorant la poutre qu’ils ont dans le leur (putain, ça doit faire mal!).
Or, on apprend que Tawa, au lendemain de la victoire surprise de Mme Valérie Plante lors de l’élection à la mairie de Morial, a «passé au peigne fin» les promesses de la candidate élue. Officiellement, c’était pour savoir combien cela allait coûter au gouvernement fédéral (comme si le CAnada s’empressait de réaliser les promesses des autres, lui qui n’est même pas foutu de mettre les siennes sur les rails). Bien entendu, ce n’était pas du tout pour savoir comment on allait faire payer sa victoire à la nouvelle mairesse.
Le candidat chéri de l’establishment, c’était ce cher, bon, gros, vieux Denis (de poule) Coderre. Avec lui, pas de problème; on savait à quoi s’attendre*. D’ailleurs, depuis l’élection – vous l’avez sûrement remarqué – les médias courants n’ont eu de cesse d’éreinter Mme Plante chaque fois que l’occasion s’est présentée.
En soi, c’est amusant, car le gouvernement fédéral, celui qui dirige le fils de Pierre Elliott Trudeau, a beau transgresser toutes ses promesses électorales depuis qu’il est au pouvoir, les mêmes médias complaisants font des pirouettes dorsales pour l’excuser, même dans cette abracadabrante affaire de légalisation de la marijuana.
D’ici à ce qu’on retrouve ce cher, bon, gros, vieux Denis comme ministre de troisième ordre dans un autre gouvernement libéral, il n’y a qu’un pas.
*Notez en passant que je n’ai pas voté pour Mme Plante. J’ai accordé mon vote à M. Philippe Tessier, candidat de la Ligue communiste.
lundi 12 février 2018
dimanche 11 février 2018
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