Hier, j'ai fait une blague à propos d'Elizabeth II, que je regrette aujourd'hui. En effet, je pensais alors que les ennuis de santé de la reine d'Angleterre, du Royaume-Uni, du CAnada et de ce qui reste de l'empire britannique, tout préoccupants qu'ils aient pu être, n'étaient que passagers. Je ne croyais pas me tromper si lourdement, jusqu'au moment où j'ai pris connaissance de son décès.
Je tiens donc à présenter mes plus sincères condoléances à la famille de la souveraine, laquelle doit se trouver extrêmement éprouvée à l'heure actuelle. En particulier son fils aîné qui, maintenant qu'il est appelé à monter sur le trône, devra cesser de jouer le rôle de grand échalas dégingandé et passer aux affaires sérieuses. Pour autant que la monarchie en soit une.
En terminant, je tiens à corriger un oubli à propos du p'tit change. Il faudra aussi mettre une autre face sur les billets de vingt dollars.