Barbarie

Le ministre de l'Intérieur de France, M. Bruno Retailleau, n'a pas mâché ses mots au sujet du saccage de la tombe de Jean-Marie Le Pen, l'ancien chef de l'extrême droite. En effet, des inconnus ont endommagé, à coups de masse, le monument funéraire. Le ministre a parlé d'une «abjection absolue», soulignant que «le respect des morts est ce qui distingue la civilisation de la barbarie».

Nous ne pouvons que souscrire à de telles paroles qui défendent ainsi la mémoire d'un homme qui a su si bien démontrer, au cours de sa carrière militaire, que le respect des morts est infiniment plus important que le respect des vivants.

 

Servage

 

 

À quoi sert le service du serf, ce semi-esclave féodal, cet inféodé à la servitude? Mais au servage, voyons; l'éternelle disponibilité de celui chez qui toute la force tient dans son impuissance.

Sevrage

 

Question ambiguë

 

Enfin, la reprise parlementaire!

 

Boycotte que coûte!

L'article ici

 

On nous prévient d'emblée que ça ne changerait pratiquement rien, mais j'en doute. Toujours est-il que, si on veut que les Stazunis entendent, il faut parler, même si notre voix sera très faible.

Bref, un petit boycottage sera toujours de mise, en attendant qu'il soit punissable par la loi, comme celui qu'on n'ose pas appliquer à un État proche-oriental que la décence nous interdit de nommer ici.





 

Par qui?

 

 

Large couverture médiatique – et à juste titre – concernant le 80e anniversaire de la libération du camp de concentration d'Auschwitz-Birkenau, symbole de la barbarie nazie. Vous savez, ce même fascisme qui est en plein essor en ce moment.

Tous les protagonistes de l'époque, sauf un, sont présents aux cérémonies de commémoration, y compris le président ukrainien dont les troupes s'affichent ouvertement avec des symboles nazis. En plein essor, disais-je.

Quantité de faits sont mentionnés sur le sujet, mais il en est un que tout le monde a scrupuleusement tu.

Libéré par qui?