P’tite misère!

On a appris pas plus tard qu’hier qu’André Boisclair, parasite extraordinaire de la fonction publique et accessoirement politicien à ses heures, vient de décrocher un poste au gouvernement. À un salaire de 175 000 $, il a cependant été prévenu qu’il serait appelé à travailler à temps plein. Le contribuable pousse un soupir de soulagement. À demi-temps, ses tarifs sont de 350 000 $ par année.

Il agira dans un rôle de conseiller en matière d’environnement. Le ministre David Heurtel a expliqué que la grande expérience d’envergure internationale de M. Boisclair dans la lutte au réchauffement climatique sera très utile à son ministère.

En effet, M. Boisclair a beaucoup contribué à la réduction des gaz à effet de serre, ayant passé toutes ces années à péter plus haut que le trou.

Crimes haïs

Statistique CAnada a publié les chiffres concernant les crimes haineux commis en 2012. Il appert que, malheureusement, leur nombre a augmenté de 6 % depuis la dernière estimation.

Rappelons que les crimes haineux sont définis comme étant perpétrés contre une race, une ethnie ou une religion, ou contre un groupe ou minorité au sein d’une population. Ils sont considérés, avec raison, particulièrement répréhensibles et odieux.

Quoique les grands centre urbains ont été le théâtre du plus grand nombre de crimes haineux. Toute proportion gardée, ils ont été plus fréquents dans les villes de Hamilton, Thunder Bay et Peterborough, qui ne comptent pourtant pas parmi les plus peuplées.

À n’en pas douter, il doit s’agir là d’un autre effet du bilinguisme.

Avoir le feu

L’article ne précise pas s’ils lui refusent l’accès après ou avant que l’incendie se soit déclaré.

Rimez avec Gendron*

Stéphane Gendron, l’ex-maire de Huntingdon, poste dont il a tiré un surnom assez peu flatteur, et collaborateur assidu des radios poubelles, poursuit un de ses anciens employeurs.

En effet, après qu’il eut sévi sur les ondes, bien souvent en faisant fi des égards de base, voici que Radio X Montréal (91,9 FM) a décidé de le remercier de ses services. Comme son X-employeur lui avait d’abord offert un renouvellement de contrat, cette nouvelle l’a totalement pris par surprise. Selon ses propres termes, il a eu l’impression d’être traité «comme un vulgaire sac à déchets».

Médisance ou calomnie? C’est  probablement ce que la poursuite aura à établir.

* Nous suggérons ici un titre d’émission que pourrait animer M Gendron.

Une poignée dans le dos

Fiscalité et programmes sociaux : Des commissions paquetées dont on connaît déjà les résultats

Vous le savez bien, mes amis, que les deux récentes commissions (révision des programmes sociaux et fiscalité) mises en place par le libéral Philippe Couillard relèvent de la frime grotesque et font preuve de mépris envers la population. Voyons donc, prétendre que ces deux commissions vont tout mettre sur la table de façon objective et impartiale tout en ayant des commissaires provenant du milieu des affaires ou inféodés du club patronal, c’est penser qu’on a une poignée dans le dos. C’est faire insulte à l’intelligence.

En fait, ces deux commissions vont simplement servir au gouvernement libéral de caution afin de faire entériner ses politiques, téléguidées par le patronat, en simulant des recommandations rendues par des «experts» (toujours les mêmes) indépendants. Indépendants mon œil!

Les deux commissions libérales ou l’art de rire du monde 
Le blogue de Léo-Paul Lauzon, 26 juin 2014

Robert-Henri-Bourassa

Ce cher bon maire Denis Coderre – que certaines méchantes langues ont surnommé honteusement «Denis Codingue» – a eu la bonne idée de ressortir un projet qui était mort au feuilleton il y a de cela quelques années.

À l’époque, son illustre prédécesseur – aussi intègre que lui, mais moins talentueux –, Gérald Tremblay, avait proposé de nommer une avenue de Morial, l’avenue du Parc, du nom véritable de Bob-la-job. Or il appert que les anglophones ont trouvé l’idée scandaleuse et, sans égard pour celui qui leur a sauvé la mise à plusieurs reprises, ils ont torpillé le projet.

Notre ami Denis veut faire avancer le dossier. Fort bien, mais il faudrait qu’il choisisse de renommer une autre artère. Personnellement, je suggère le boulevard Henri-Bourassa, qu’on pourrait rebaptiser Robert-Henri-Bourassa pour n’offusquer personne. Après tout, un collabo ou un autre...

Et puis pourquoi ne pas baptiser une artère importante «boulevard des Traîtres»? Comme ça, on pourra tout mettre dans le même panier, décennie après décennie.

D’ailleurs, il y a déjà un aéroport qui est pratiquement nommé comme ça.

À Hu! et à dia

Pour les personnes qui se demandent ce que veulent dire les mots «Hu! Hu! Hu!» dans les commentaires d’un message précédent, je les renvoie à leurs grands classique littéraires.

Il n’est question ici de rien d’autre que d’une onomatopée de convenance venant émailler un discours relevé.

Il ne s’agit nullement d’une ironie déplacée, bien au contraire. C’est un sourire complice qu’on adresse à un ami en présence d’un tiers, comme en fait foi la mise en situation ci-contre.

Ah! l’élégance des bonnes manières!...

Le sens de la diversité

Nostalgie

Vous souvenez-vous du doux temps où j’étais fier du Québec?

Ah là, là! C’est bien loin, tout ça.

Des tensions

Afin de prévenir toute tentative d’évasion, les fameux évadés d’Orsainville seront détenus dans un ancien hangar à sous-marins. 

J’aimerais bien voir comment ils pourraient s’enfuir de là!

Pas de poudre, pas de pot, pas de pape

Le pape Frankie Ier Berlingoglio a indiqué l’autre jour «qu’il fallait savoir dire non à toutes les drogues» sans exception, y compris à celles dites «douces».

Bref, pas de poudre, pas de pot.

Ce bon gros pape est même allé plus loin en affirmant que les légalisations de la marijuana, même partielles «ne produisaient pas les effets qu’on leur avait fixés (sic) sans compter qu’elles sont très discutables sur le plan législatif».

Curieux, on pourrait dire exactement la même chose des lois qui interdisent l’usage des drogues. Enfin, passons…

En outre, le pape a ajouté que «la drogue est un mal [NDLR: le grand mot était lâché!] et avec le mal on ne peut faire des concessions ou des compromis».

Curieux, moi je n’ai jamais entendu parler de poteux qui violaient des enfants. Peut-être Frankie devrait-il se garder une petite gêne et rester humble.

Au moins à moitié aussi humble qu’il prétend l’être.

Frankie Ier, dans les ruelles sordides,
préfère fumer son pot à la pipe à eau,
plutôt qu’au joint.