samedi 2 février 2019

Cor russe


Tous en chœur: forcément, à force de se mettre les pieds dans le plat...

vendredi 1 février 2019

jeudi 31 janvier 2019

Léche-CAQ?


La faillite porte conseil...

mercredi 30 janvier 2019

Punchez-y même pas


Quand on pense que, au cours du XXe siècle, les Stazunis, l’Allemagne, l’Autriche, la Roumanie, la Hongrie, la France, l'Italie, la Finlande, la Pologne, le Japon, l’Empire ottoman et, bien sûr, les Britanniques l’ont envahie et que, depuis tout ce temps, la Russie n’a jamais aspiré qu’à la paix, il est étonnant de constater qu’elle est encore et toujours le grand épouvantail contemporain.

Qu’il arrive n’importe quoi, n’importe où, et, tout de suite, il y a de la conspiration russe là-dessous. Un imbécile est élu président à la Maison-Blanche: c’est un coup des Russes. Un avion civil est abattu dans une zone de combats: c’est un crime russe. On tente de violer son espace maritime: c’est une provocation de la Russie.

Désormais, ce n’est plus suffisant de constater un fait en apparence inexplicable et d’ensuite échafauder une conspiration moscovite. À défaut de preuves, il faut maintenant anticiper de telles machinations et les projeter dans un avenir immédiat, qu'il s'agisse d'un cadre électoral ou autre chose.

Quel dommage qu’on ne projette rien dans un avenir lointain, comme par exemple ficher la paix à ce pays que l'Occident aime bien prendre pour un punching-ball.

L’araignée dans le plafond



Dans le cadre de la Semaine de la mode à Paris, Céline Dion, la grande diva charlemagnoise, a fait une apparition des plus remarquées lors de l’événement, apparition qui a littéralement crevé le plafond, suivant l’expression consacrée.

Les rumeurs sont allées bon train dans son sillage. La plus persistante veut qu’elle tienne, au cinéma, le rôle-titre dans un remake intitulé Le retour de la femme-araignée.

Affaire à suivre.

mardi 29 janvier 2019

Caméra keufée


Le piège cAnadien



Un citoyen français désirant visiter le CAnada pour des raisons familiales s’est heurté à un mur administratif, dernièrement. M. Raymond Barbier, car tel est son nom, dont la santé est encore bonne pour ses 81 ans, a appris de la part de Citoyenneté et Immigration CAnada que, s’il voulait être autorisé à entrer dans ce pays, il devait passer –avec succès, faut-il le préciser? – un examen psychologique afin d’établir sa santé mentale. Tous les frais afférents à une telle démarche devaient lui être imputés; on parle ici de centaines d’euros.

Bien entendu, les motifs sous-tendant cette exigence cAnadienne sont clairs. En effet, si un francophone veut à ce point aller dans ce pays, c’est évidemment parce que quelque chose ne tourne pas rond chez lui. Dès lors, il est évident que M. Barbier souffre d’un problème psychologique, ce qui ne peut qu’entraîner le refus de sa demande.

Et après, on viendra me dire que le CAnada n’est pas un pays bien organisé!

lundi 28 janvier 2019

Bonne année, gros nez!

M. John McCallum est de la paix.


Rappelons brièvement les faits. Il y a peu, Mme Meng Wanzhou, directrice financière de Huawei, le géant chinois des télécommunications, avait été arrêtée à son arrivée au CAnada. Sous le prétexte fallacieux de malversations financières, il s’agissait de contrer la montée en puissance de la multinationale dans un domaine où les Stazunis entendaient maintenir leur hégémonie. De toute évidence, il s’agissait d’une de ces nombreuses situations où le roquet outaouais se mettait à la disposition pleine et entière de son maître washingtonien.

À cette époque, l’ambassadeur cAnadien en Chine s’appelait John McCallum. Il avait commencé par expliquer, jeudi dernier, que le dossier de Mme Meng était suffisamment solide pour lui éviter une éventuelle extradition aux Stazunis où elle risquerait fort d’être condamnée.

De quoi se mêlait-il? Immédiatement, les commentaires avaient surgi pour critiquer vertement cette intervention déplacée et pour réclamer la démission du diplomate. Si le gouvernement du fils de Pierre Elliott Trudeau avait fait front, quoique faiblement, afin de défendre M. McCallum, ce dernier en a rajouté une couche vendredi en expliquant à une journaliste que si les Stazunis abandonnaient les poursuites envers la femme d'affaires chinoise, ce serait une bonne chose pour le CAnada.

De quel droit se permettait-il de prendre la défense des intérêts de son pays aux dépens de ceux de l’empire yankee?

Les choses n’ont fait ni une ni deux. Sanctionné pour avoir mis son gros nez – par deux fois – entre les Stazunis et leurs intérêts commerciaux, John McCallum s’est fait montrer la porte par le fils de Pierre Elliott Trudeau.

Bref, le meilleur langage diplomatique c’est: ferme ta gueule!

Pape oraison