samedi 12 avril 2014

Hillary partie




En plus d’avoir publié ses mémoires dernièrement, Mme Hillary Clinton, la plus connue des cocufiées de la planète, et accessoirement ex-secrétaire d’État des Stazunis, a fait parler d’elle récemment.

En effet, n’hésitant pas à marcher – sans mauvais jeu de mots – dans les traces d’un précédent président – gare aux prochaines élections –, elle s’est fait garrocher une chaussure lors d’une conférence, jeudi passé. Comble de malheur, il s’agissait d’un soulier de femme. Imaginez si le talon acéré de l’article avait effleuré l’une ou l’autre partie anatomique de Mme Clinton, elle qui est, décidément, dans une forme débordante…

Faisant preuve de la capacité d’analyse et de la répartie qu’on attend d’une future candidate à la Maison-Blanche, Mme Clinton a demandé à la salle si on l’avait en gris.

vendredi 11 avril 2014

Laudes mer


On a fait beaucoup de cas, dernièrement, d’une découverte de la Marine yankee. Ses chercheurs ont en effet réussi à développer une méthode permettant de produire du kérosène à partir de l’eau de mer. Plus précisément, le procédé consiste à utiliser l’hydrogène et le bioxyde de carbone contenus dans cette eau, deux composantes entrant dans la production de carburant.

Bon, la chose a été présentée comme une brillante réussite, mais dans les faits elle est plutôt banale, vous admettrez. Après tout, il n’y a rien de bien extraordinaire à faire du carburant de cette manière. Tout dépend où vous puisez votre matière première.

Moi, je connais des endroits où il y a davantage de pétrole que d’eau sous la surface.




jeudi 10 avril 2014

Nébuleuse sécuritaire


Nous savons tous à quel point, depuis plus d’une décennie, la sécurité collective est devenue une obsession. La crise environnementale, la crise alimentaire, les crises économiques et les différentes épidémies ont toutes pris l’arrière-scène. Ce qui compte, depuis que les Stazunis ont semblé subir une attaque terroriste, c’est la sécurité, toute la sécurité et rien que la sécurité.

[NDLR : Le conditionnel est employé relativement au fameux onze-septembre simplement parce que la version officielle ne tient pas debout.]

Que la sécurité soit devenue une considération de premier plan pour les bourgeois, leurs pantins qui nous dirigent et les électeurs qui croient que l’assurance maladie est un complot communiste, on le comprend facilement. Jusqu’à maintenant, les présidents et les premiers ministres pouvaient toujours compter sur la force militaire, les mercenaires, la police secrète et celle qui l’est moins afin de garantir la sécurité de tous… ceux qui en valent la peine. Or voici qu’une récente déclaration de Barack Hussein Obama insinue un doute sur ce chapitre.

Selon lui, il devient important de réclamer plus de sécurité pour les soldats. Alors s’il faut protéger les soldats, qui va-t-on envoyer se faire péter la suce dans d’accueillantes terres étrangères?

On pourra toujours envoyer des civils. C’est pas ça qui manque.

mercredi 9 avril 2014

Le grand soir


C’était le grand soir, avant-hier – soir, évidemment –, au Québec. En effet, en tant que peuple, nous avons obtenu deux avantages notables.

Premièrement, pour les 10 ans à venir, plus personne n’aura le droit de se plaindre de la corruption endémique ni de la dénoncer. Désormais, c’est en toute connaissance de cause que le peuple a choisi les prévaricateurs, les concussionnaires et les croches qui vont le tondre un peu plus ras.  Ce qu’il y a d’amusant c’est que la Commission Charbonneau, qui doit reprendre ses audiences prochainement, devra faire attention de ne point trop nommer de nouveaux ministres. Ça risquerait d’être embarrassant.

Mais foin de ces billevesées! Qu’importe si lesdits ministres se retrouvent en taule. Cela – j’en suis sûr – n'empêchera pas de voter pour eux. Après tout, qu’on soit dans sa circonscription ou non, au Québec ou non, à son bureau de comté ou devant une machine de vidéopoker, n’importe qui peut se faire élire. Alors, la prison…

Bref, 10 ans de tranquillité et de calme, de complaisance et de laxisme. Cette fois, hélas, il sera bien difficile de l’imputer aux élus, ce qui fait que les électeurs n’auront d’autre choix que de se taire. Ce ne sera pas du tout triste, cette décennie. Pas très original non plus; plutôt déjà-vu, en fait. Mais au moins, comme on dit en anglais, «tout le monde sera sur la même page». Une page d’histoire que j’aurai grand plaisir à lire, un de ces quatre, quand on verra à quoi ça nous aura menés.

Ah oui, j’allais oublier l’autre avantage: au moins, on est débarrassés de Pauline Marois.

Tiens, on n’a qu'à l’envoyer à New York, elle aussi. Il n’y a encore que là où elle ne pourra faire autant de conneries.

lundi 7 avril 2014

Réaction | Non non non non non non non!

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Vous êtes pas sérieux? Pas lui? Non non non non non non non! Pas lui! S'il vous plaît, pas lui! Non non non non non non non! C'est pas vrai? Pas lui? Vous avez pas voté pour lui? Vous êtes pas sérieux? Non non non non non non non! Pas lui! Pas lui! Pas lui! J'aurais même pas acheté son vieux char! Pas lui! Non non non non non non non! S'il vous plaît, s'il vous plaît, s'il vous plaît, pas lui! Misère! Pas lui, pas lui, pas lui, pas lui, pas lui! Non non non non non non non! Non non non non non non non! Non non non non non non non! 

Nooooooooooon!

Montréal vue du sol