samedi 1 mars 2025

Martel en tête




Le cinéma à l'international, ça va le changer du théâtre au secondaire.

 

 


 

vendredi 28 février 2025

L'homme Éric du numérique

 


jeudi 27 février 2025

Prudence Guilbault

 


Mots dits

 

par le professeur Skannen


Si vous lisez l'actualité, vous savez que le président yankee, le quadruple «I» (ignare, imbécile, incompétent, impulsif) Donul Trompe a donné pour mandat à son pote Elon Mukus (alias Troudkus Maximus) de réduire les dépenses du gouvernement. Ainsi a été créé le DOGE (Department of Government Efficiency [département de l'Efficacité gouvernementale]). En clair, cela veut dire qu'il va mettre à pied autant d'employés qu'il peut. Il semble que, aux Stazunis, l'efficacité est synonyme de compression de la masse salariale, comme si les services gouvernementaux ne servaient strictement à rien.

Bien entendu, ces mises à pied sont exécutées, dans les services touchés, de manière sauvage. En conséquence, cela a instauré un climat extrêmement anxiogène au sein de l'administration, de sorte que, en attendant le couperet, les fonctionnaires se cherchent un emploi ailleurs, à commencer par les plus compétents. On comprend ainsi que les renvois massifs risquent fort d'aller à l'encontre de l'efficacité.

Mais ni Mukus ni Trompe n'en ont cure. Si le second est incapable de comprendre quoi que ce soit dans quelque domaine que ce soit, le premier, lui, s'en est pris aux instances gouvernementales qui scrutaient de près les procédés douteux au sein des sociétés qu'il possède. Bref, l'un est négligent et l'autre est intéressé.

Qu'importe, d'ailleurs. Dans la réalité des faits, il faut reconnaître que, à cause du DOGE, le gouvernement des Stazunis est en train de se dévorer de l'intérieur.

Qu'il prenne garde: le risque est grand qu'il subisse un sérieux empoisonnement.


mercredi 26 février 2025

Langue de bois et langue française

 



Comme c'est intéressant, ces débats entre libéraux. Puisque le fils de Pierre Elliott Trudeau, enfin au fait de sa totale incompétence en politique, comme en quantité d'autres choses par ailleurs, entend tirer sa révérence, il incombe de nommer  – pardon, je veux dire «élire» – quelqu'un d'autre à sa place.

On se demande un peu à quoi sert un débat dans les circonstances, puisque les quatre candidats ont passé la majeure partie des échanges à tomber d'accord, ce qui est rassurant pour l'avenir. Quel que soit le chef choisi, il n'y aura pas de cabale dans les rangs. Les longs couteaux ne volent pas entre libéraux, semble-t-il.

Preuve que les prétendants au titre suprême font preuve d'une belle unanimité, ils ont tous galéré dans au moins une des deux langues officielles cAnadiennes. Quant à l'autre, elle était de bois.


mardi 25 février 2025

Éternel cilice

 



Lorsqu'on nous dit que le gouvernement n'a pas d'argent ou que le déficit se creuse, cela est bien entendu un signe qu'il nous faudra se serrer la ceinture encore un peu plus.

En fait, c'est le discours dominant depuis, essentiellement, le début des années 1980. Sauf que – on le constate aujourd'hui – les sacrifices ne semblent devoir être consentis que par la population. Les dirigeants, eux, continuent d'agir comme si les fonds étaient illimités.

Combien de fois de grands projets ont-ils dépassé leurs budgets? Les exemples abondent et on ne prendra la peine de ne signaler que les hôpitaux universitaires, les réseaux de métros de banlieue ou les systèmes informatiques. Et encore, les dépassements budgétaires ont aussi un revers de médaille assez peu reluisant. Car si les coûts sont exorbitants, le résultat final est marqué par l'incompétence dans la menée des travaux.

Comment les décideurs font-ils pour se maintenir en selle après avoir fait preuve d'un tel laxisme couplé à une si profonde incompétence? C'est très simple; il y a deux solutions. Ou bien il incombe de trouver un coupable, un seul, et de le sanctionner sévèrement. Bref, trouver un bouc émissaire qui va payer pour tout le monde, et ce, bien au-delà de sa faute. Ou bien – et c'est la technique préférée – il suffit de noyer le poisson. Il n'y a qu'à faire en sorte que tant de mains ont pétri la mauvaise pâte qu'il devient impossible de désigner ne serait-ce qu'un seul responsable.

Lorsque l'heure de rendre des comptes sonne, on assiste alors à un jeu de patate chaude où les reproches sont tellement nombreux, et lancés dans toutes les directions, qu'ils tombent dans le vide. Comme ils n'ont atterri dans le giron de personne et qu'ils finissent par terre, il suffit alors de les balayer sous le tapis afin de les ajouter aux autres faux-fuyants que nos courageux politiciens tentent ainsi de soustraire à la mémoire collective.

Et surtout, n'oubliez pas un point essentiel du gaspillage institutionnel: continuez à vous serrer la ceinture.


dimanche 23 février 2025

Je n'en ai manucure

 



C'est rassurant de voir que le fils de Pierre Elliott Trudeau, malgré les divergences de vues, continue de faire son rapport à son supérieur immédiat.

Professionnel jusqu'au bout des ongles.