samedi 7 avril 2012

Chère New York

Une pub pour la boutique Zara de New York.

Miss Station Service


Trouvé aux archives du légendaire magazine Life, une série photo du garage des frères Muller, quelque part aux US, en juin 1951, lors d’une promotion célébrant le 3000e client de leur lave-auto. Venez y admirer, entre autres, Miss Pneu, Miss Gazoline, Miss Freins, Miss Débosselage et Miss Lubrification.

Belles images d’un temps révolu, sur Retronaut.

Merci à Richard.

En kiosque

CÉLINE DION PERD LA BOULE!

vendredi 6 avril 2012

En kiosque

Les Bidules Junior


Interviewé par la BBC, James McCartney, fils de Paul, a révélé qu’il envisageait de créer un groupe avec les autres fils de bidules: Sean Lennon, Dhani Harrison et Zak Starkey, batteur comme son père, Ringo Starr.

La nouvelle formation, Beatles: The Next Generation aurait la prétention d’être “égale” aux originaux.

Le Figaro

Cinémaboule: Vers la 7e planète!

Le futur comme on l’aimait

L'printemps

jeudi 5 avril 2012

Le nouveau Wainwright

Ciné mi-temps








Le blogue Halfway Cinema publie des images curieusement évocatrices capturées à la mi-temps des films. En exemple ici: Forrest Gump à 1:10:58, Spider de Cronenberg à 0:49:15, El Topo à 1:02:14, et Sugarland Express de Speilberg à 0:54:57.

Grosses têtes




Les bronzes disproportionnés de Thomas Lerooy. Via Sweet Station.

En kiosque

La vallée de Lavalin

Pierre Duhaime, vous connaissez? Non, bien sûr. À moins d’être un ingénieur ou de frayer dans les milieux élevés de Québec inc., ce nom ne vous dira pas grand-chose. Il s’agit de l’ex-patron de SNC-Lavalin, l’entreprise d’ingénierie-conseil de calibre international. Celui-là même qui n’a pu légitimer des dépenses de l’ordre de 56 millions de dollars, des paiements consentis à des «projets de construction auxquels ils ne semblaient pas se rapporter». C’est en ces termes, voyez-vous, que, dans les milieux policés, on remet en question l’intégrité d’une personne haut placée sans le dire.

Bref, M. Duhaime a annoncé son départ du poste de pdg de SNC-Lavalin – sans doute pour relever ailleurs des défis semblables – et la firme lui versera donc une prime de départ de 4,9 millions de dollars.

On l’a échappé belle. Qu’aurait-il fallu lui donner si tous les paiements s’étaient rapportés à des projets de contruction?

mercredi 4 avril 2012

La soirée ne fait que commencer

Les p’tits dessins

Photobucket

Photobucket
Sont épatants les dessins stéréoscopiques de l’Américain Dain Fargerholm!

Plusieurs images sur My Modern Met.

Hong Kong sous la pluie






Les photos de Christophe Jacrot.

Attachez vos ceintures

Maire perd

Les antipodes de l’économie

«C’est bon pour l’économie.»

Qui n’a pas déjà entendu cette phrase prononcée, à la légère la plupart du temps, en guise d’argument final lors d’une conversation ou d’un débat de société. Qu’il s’agisse d’un plan quelconque, peu importe son point cardinal, ou d’une énième compression du filet social, un ponte quelconque finit toujours par mettre le point final en garantissant des effets économiques bénéfiques. Effets que personne, jamais, ne voit sous forme concrète.

Pour cette raison, je me suis longuement interrogé quant à savoir exactement ce que peut bien vouloir dire ce mantra qui, comme tant d’autres phrases creuses, ne veut finalement peut-être rien signifier du tout. Une sorte de crépi verbal pour masquer l’absence de pensée.

Après mûre réflexion, force est de constater que l’expression a bien une signification, mais qu’elle est mensongère – pour ne pas dire viciée – à la base. Car l’économie concerne tout le monde, sans exception. Il s’agit du réseau d’échanges au sein duquel les individus évoluent et qui permet de répondre à leurs besoins. En théorie, ce qui est bon pour l’économie est favorable pour la totalité des personnes.

Mais nous ne vivons pas dans un système économique qui sert l’ensemble des humains. C’est un système qui sert uniquement une minorité. On appelle cela le capitalisme qui tire son nom, selon un certain philosophe du XIXe siècle, de l’objectif de ce système consistant à accumuler et à concentrer le capital. Autrement dit, à produire le plus d’argent possible – l’accumulation – et à ne le laisser qu’entre les mains du plus petit nombre d’individus possible – la concentration.

Bref, dans un système capitaliste, ce qui est bon pour l’économie est forcément néfaste pour le plus grand nombre, car ledit système consiste à prendre la richesse du plus grand nombre afin de la faire passer sous le contrôle exclusif d’une minorité de plus en plus infime.

La prochaine fois que vous entendrez l’expression «c’est bon pour l’économie», vous saurez qu’on vous prépare un coup de salaud, à moins que vous ne soyez le camarade Desmarais ou le camarade Péladeau.

Pour simplifier, mettons que vous vous situez aux antipodes de l’économie.



mardi 3 avril 2012

Les aventures de Batman

Déclic


Les portes de Québec, par Michaël Pinault.

Sgt. Pépère


Il a créé, en 1967, la pochette de disque la plus célèbre de tous les temps. Pour ses 80 ans, le designer Peter Blake a remis l’image à jour. Marilyn Monroe, Karl Marx et les autres sont remplacés par Amy Winehouse, JKRowling, Elvis Costello et ainsi de suite. Au centre, Sir Peter et sa famille.

Voir l'image grand format ici.

En kiosque

La vie, mon vieux

« Samedi, j’ai allègrement pédalé un 60 kilomètres frisquet et venteux. Allègrement, parfaitement. Mais.non, je ne vais pas plus vite, c’est mon âge qui s’accélère. Si je puis me permettre: je roule maintenant à tombeau ouvert. »

Pierre Foglia, La Presse

Carrément dans le rouge

Ne comptez pas sur moi pour excuser le geste qui a été posé dans la nuit de dimanche à lundi. En effet, c’est à ce moment que l’édifice abritant des bureaux du ministère de l’Éducation du Loisir et du Sport (sic), sis au 600 rue Fullum à Montréal, a été peint en rouge.

Bien qu’on ne possède aucune preuve à cet effet, les soupçons se sont portés sur des étudiants, lesquels demeurent pour le moment à identifier. On sait que la couleur rouge est le symbole de la contestation à l’encontre de l’augmentation abusive des frais de scolarité.

Pour l’heure, la police fait toujours enquête, car bien que le périmètre soit théoriquement surveillé par des caméras, que cette artère est assez passante à toute heure et que des personnes aient été présentes à proximité dans le courant de la nuit, il n’y a aucun témoin du méfait. Évidemment, ce genre d’action est hautement répréhensible et devrait être critiqué vivement par tous les intervenants.

Mais ne comptez pas sur moi pour ça non plus.

lundi 2 avril 2012

Les Bidules

Les monstres à la retraite




Freddie, Jason et les autres ont atteint l’âge de la retraite. Le photographe Federico Chiesa se penche sur le sort de ceux qui nous ont fait peur.

Via i09

Maddie la grimpeuse


Le photographe Theron Humphrey fait le tour des 50 états américains pour photographier Maddie debout sur tout. Voir le blogue Maddie on Things.

Blog à bibis




Des chapeaux. Un blog entièrement consacré aux chapeaux.
Rétro, on s’entend.

dimanche 1 avril 2012

Les Bidules


Alfred Hitchcock, le 5e Bidule.

Thierry, le poisson de Avril

De circonstance



Trudeau-Brazeau (bis)

Il me faut bien reconnaître quand j’erre – et dans quel état, en plus. Hier, mes prévisions se sont avérées totalement fausses au sujet de l’affrontement entre les pugilistes Patrick Brazeau et Justin Trudeau au cours de l’événement Ottawa Mania.

J’avais prévu une valse hésitation entre deux amateurs devant se solder par un verdict nul, et sans grand dommage pour les combattants. Quelle erreur! Victoire sans équivoque de M. Trudeau aux dépens de son adversaire qui a saigné de sa belle petite gueule. «C’est au sprint qu’on reconnaît le champion», avait un jour affirmé papa Plouffe à un de ses fils, dans le film éponyme. Hier soir, papa Pet eût été fier de sa progéniture.

En deux rounds, il a envoyé son adversaire au tapis deux fois, ce dernier, essoufflé, peinait chaque fois à se relever au point où l’arbitre a interrompu le combat. Justin Trudeau a démontré de quoi les souverainistes étaient capables.