samedi 25 janvier 2025

La politique, c'est tout un sport

 



Les expressions faisant allusion au sport foisonnent dans le discours politique. Quand je parle du discours politique, entendez «les élucubrations de M. François Le Gault*»; et quand je mentionne le sport, je veux dire «le hockey sur glace».

Or, le premier ministre aime bien parler de «manger la puck», de «patiner sur une glace mince» ou de «marquer dans son propre but». Traduits en langage clair, ces aphorismes signifient, respectivement, «tergiverser avec le palet», «travailler sans filet» et «desservir sa propre cause».

Évidemment, en politique, il incombe d'être compris, surtout lorsqu'on affirme le contraire de ce qu'on pense. À la limite, et surtout dans le cas de M. Le Gault, à force d'enchaîner de telles dualités, les gens finissent par être imperméables à ce genre de discours.

Cela revient à slapper la puck sur les pads du goaler.




* Le gault, ou argile de Gault (dite parfois «argile albienne»), est une formation d’argile raide de teinte gris-bleu à gris foncé, qui s'est déposée à profondeur moyenne dans des eaux marines calmes, au cours du Crétacé inférieur. [… Il] contient souvent des nodules phosphatiques en grande quantité, dont une partie est classée comme coprolithes, c’est-à-dire un excrément minéralisé, fossilisé.
(https://fr.wikipedia.org/wiki/Argile_du_Gault)

vendredi 24 janvier 2025

Pas de berne pour Bernier

 



Un criminaliste médiatique, maître François-David Bernier, a posé une question cruciale au sujet de la loi 21, laquelle est appelée à se faire éviscérer par la cour suprême du CAnada puisque celle-ci a considéré comme recevable sa contestation.

Pour mémoire, mentionnons que ladite loi est celle qui promeut la laïcité de l'État québécois. Entre autres dispositions, elle stipule que ses représentants n'ont pas le droit d'arborer des signes religieux distinctifs. En effet, quel meilleur moyen de laisser toute liberté religieuse que ce soit, sinon au sein d'un État résolument laïque?

La question que pose maître Bernier, bien qu'il ne soit nullement constitutionnaliste, est: «Est-ce correct de brimer certains droits au nom de la société en général?» La réponse sera certainement non.

Piqué au vif, vous rétorquerez sans doute: «Qu'en est-il alors du droit à un logement salubre; à une éducation de qualité; à des services de santé adéquats; à un emploi stable; à un salaire décent?» Tous ces droits ne sont-ils pas brimés au Québec?

Ah, mais cela est tout différent!

Ces brimades-là sont au nom du profit et pas de la société.


Ruba gazouille

 


jeudi 23 janvier 2025

Réingénierie de l'État 2.0

 


mercredi 22 janvier 2025

La raison résonne

 



Dans le contexte actuel, alors que tout le monde panique au CAnada, ainsi qu'au Québec, avec le retour en force du fascisme orange aux Stazunis, il est rassurant d'entendre les voix de la raison qui viennent nous rassurer.

Ainsi, M. Marc Tanguay, le chef intérimaire du Parti libéral du Québec (PLiQ), a-t-il affirmé récemment que la présidence de Donald Trompe serait un mauvais moment pour que le Québec se sépare du CAnada.

Déjà, on sait qu'un chef intérimaire est beaucoup plus au fait de la réalité des choses qu'un chef confirmé, surtout quand on pense que les principaux candidats à la tête du PLiQ sont Denis Coderre et Pabo «Speedy» Rodriguez.

Aussi, mes chers petits enfants, faites confiance aux résonnantes paroles de M. Tanguay. Soyez assurés que, en tout bon libéral, il saura vous dire quand adviendra le bon moment pour accéder à votre indépendance.

mardi 21 janvier 2025

La belle a beau




Pas facile, la politique. Après avoir dirigé un gouvernement pendant des années, il arrive inévitablement le jour où il faut prétendre que l'on n'avait finalement rien à voir avec les décisions qui ont été prises pendant tout ce temps. C'est aujourd'hui le problème auquel doit faire face l'avenante Chrystia Freeland, maintenant qu'elle a décidé de briguer la succession du fils de Pierre Elliott Trudeau.

En effet, le problème pour elle sera de convaincre que tout ce qui a été fait depuis l'élection de ce dernier le fut sans aucune intervention de sa part. C'est à croire que, en tant que ministre des Finances et de vice-première ministre, elle n'avait rien à voir avec la direction de l'État.

Pas facile de nous persuader que la personne qui ne foutait rien dans ce gouvernement, c'était elle et non lui…

Bonne chance, ma belle Chrystiâ!


lundi 20 janvier 2025

Adieu sénile, bonjour débile

 


dimanche 19 janvier 2025

Israël un jour, Israël toujours

 


Cas d'erre rance