mardi 17 février 2009

Enrôlez-vous, qu’ils disaient...


Le nombre de soldats qui quittent les Forces canadiennes a bondi de 33% depuis 2003-04. L’armée a toutefois réussi à compenser cela par un recrutement énergique et efficace.

La rétention a aussi été particulièrement difficile dans les dernières années en raison de la vigueur de l’économie canadienne. Quand les gens se dénichent facilement une carrière dans le privé, pourquoi s’enrôler? «C’est clair qu’il y a un impact, dit Alain Pellerin, un colonel à la retraite. Quand le chômage est plus haut, les Forces recrutent plus facilement et gardent leur personnel. D’ailleurs, avec l’économie en chute libre, l’année 2009 devrait être plus facile pour l’armée.»

L’armée canadienne peine à retenir ses militaires
Alec Castonguay, Le Devoir, 17 février 2009

2 commentaires:

Anonyme a dit…

Cou'donc! C'est vraiment difficile de bâtir une école pour filles, dans ce pays-là!

Faut changer de contracteur!

Nicolas Klass

Anonyme a dit…

On a toujours dit que la guerre est bonne pour l’économie, mais là on dit qu’une économie vigoureuse est mauvaise pour l’armée?

C’est donc ben compliqué la vie.