Selon ce qu’affirmait le quotidien La Presse dernièrement, la qualité de l’air à Montréal se dégrade.
En effet, il semble que le nombre de journées où il est mauvais a augmenté de 50 %, l’an dernier, soit 68 journées où l’air était chargé de polluants, dont le dioxyde de soufre et de benzène, l'ozone et le monoxyde d'azote, entre autres.
On s’étonne quelque peu devant cet état de fait. D’une part, voilà 40 ans que la pollution est dénoncée dans la région montréalaise, de sorte qu’on a tout lieu de penser que des mesures idoines auraient dû être prises.
L’occasion sera donc donnée de débattre d’environnement lors des prochaines élections municipales qui opposeront Louise Harel à Gérald Tremblay. Bref, nous aurons le choix entre ma maire et le tôton.
lundi 8 juin 2009
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