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Il s’agit d’ailleurs d’un choix déchirant. En effet, dans ce contexte, l’écart va se creuser entre le nombre de cas de cancer et les moyens de les traiter.
Inversement, si on ne ferme pas Chalk River, on risque de graves accidents nucléaires, ce qui, compte tenu des vents dominants, devrait susciter un grand nombre de cancers au sein de la population québécoise. Là encore, on manquera d’isotopes pour tous les dépister.
Et moi qui pensait qu’il n’y avait qu’au Québec que le système de santé était mal organisé…
Quel choc!
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