Nous étions prêts. L’invasion des Skreunks serait repoussée. Nous avions nos scooters à réaction, nos combinaisons spatiales et nos pistolets atomiques, et l’on entraînait nos futurs aventuriers transidériens à coup de dix cents pompés dans les simulateurs stratégiquement placés aux portes de nos pharmacies Leduc, dans l’entrée de nos Steinbergs et dans la cafétéria chez Dupuis Frères.
On a gagné. Le combat fut terrible, mais on a fini par vaporiser l’ennemi. Déjà oublié, tout ça. Y’a toute une génération, aujourd’hui, qui n’a jamais connu ces maudits Skreunks.
2 commentaires:
Fallait pas éternuer dans le casque, en tout cas.
Merci.
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