vendredi 29 mai 2009

Dion-daine, la rengaine

Peut-être l’avez-vous oublié. Il est vrai que, si l’affaire avait fait grand cas au CAnada, elle avait été relativement ignorée au Québec, principalement parce que le tout s’était passé sur les ondes de CTV, section Atlantique, lors d’une émission d’affaires publiques diffusée, bien entendu, exclusivement dans la langue de Richler.

Dans les faits, l’animateur Steve Murphy avait posé à Stéphane Dion une question relativement anodine dont la concordance des temps suspecte avait, semble-t-il, totalement embrouillé l’aspirant premier ministre – on était alors en pleine campagne électorale. Tellement embrouillé, que monsieur Dion avait demandé à trois reprises à l’animateur de clarifier sa question à laquelle, malgré tous les efforts, il ne parvenait pas à donner de réponse cohérente.

Aujourd’hui, le Conseil cAnadien des normes de la radiotélévision donne raison à monsieur Dion, alléguant que l’entrevue avait été traitée de manière injuste par le réseau CTV.

Raison ou pas, il n’en reste pas moins que ça lui prend toujours plus de clarté que la moyenne des ours…


1 commentaire:

Albert Camus, sociologue a dit…

Bon deux centième, Sire Lou!

C'est la joie.