En effet, à cette occasion, le chef libéral a présenté son plan de développement de l’hydro-électricité, qui consiste à saccager les derniers cours d’eau vierges de la Côte-Nord. Certes, il a annoncé que sa décision profiterait surtout aux générations futures. Pourtant, celles-ci apprécieraient peut-être davantage, plutôt que de vendre leur électricité à rabais aux Yankees, s’enorgueillir de posséder certains des derniers joyaux naturels en Amérique du Nord.
Par ailleurs, la ministre de la Culture Christine St-Pierre en a rajouté dans la même foulée quand elle a affirmé que la contribution de John James Charest ne serait véritablement appréciée qu’après son départ, à l’instar de celle de Robert Bourassa.
Quant à ce dernier cas, je suppose qu’on devrait commencer d’une semaine à l’autre.
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