L’enjeu était majeur pour le gouvernement libéral de Québec, et la pression était forte sur les épaules de John James Charest. Encore une fois, notre premier ministre a fait la preuve de tout son talent et de sa constance en matière politique.
Après toutes ses reculades dans les dossiers du terminal gazier de Cacouna, du Suroît, du mont Orford, du CHUM, des frais de scolarité, de la réforme de la santé, de la réingénierie de l’État et de l’instauration des PPP – pour ne nommer que ceux-là –, M. Charest courait le risque, dans le dossier de la vente des actifs de Énergie NB Power, d’avoir à aller de l’avant.
Fort heureusement, encore là, il fait marche arrière. Bref, sa moyenne au bâton reste parfaite (voir ses statistiques ci-dessous).
Quel bon premier ministre*!
* J’ai l’air de plaisanter comme ça, mais je suis très content que cette ponction de nos finances publiques n’aboutisse pas: 3,2 G$ de moins à cracher pour nous.
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