En 1982, dans un vaste élan d'équité et de démocratie, le premier ministre cAnadien d'alors, le père du fils de Pierre Elliott Trudeau, imposait par un coup de force au Québec – et accessoirement au CAnada – une nouvelle constitution. Il s'agissait, selon lui, d'assurer à son pays la liberté et le respect des droits individuels. Vous savez, des droits individuels comme celui de refuser des soins, par exemple.
Aujourd'hui, le fils de Pierre Elliott Trudeau, lui aussi premier ministre du CAnada – c'est une entreprise familiale, dirait-on –, menace les protestataires d'Ottawa et d'ailleurs qu'il veut obliger à recevoir un vaccin expérimental dont les effets à long terme sont encore inconnus*. Cela est une violation flagrante de la Charte des droits et libertés dont aiment à se gargariser les bien-pensants cAnadiens, lorsque cela les arrange. La même Charte qu'ils sont prêts à fouler aux pieds, quand cela les arrange encore plus.
Bref, voilà deux visions trudeauesques, tout aussi hypocrites l'une que l'autre, qui s'affrontent. Un véritable conflit de générations.
Dans ce cas-ci, ce serait plutôt de dégénération…
* Avant de me tomber sur la noix, chers lecteurs, veuillez noter qu'étant personnellement vacciné je ne suis pas du tout un complotiste. Mais le fait demeure que, entre autres aspects méconnus de la chose, l'efficacité du médicament contre la Covid-19 est, à cette date, relative. À preuve: voyez le nombre de personnes vaccinées qui contractent malgré tout la maladie.
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