Quelle découverte inattendue! Et puis vous avez trouvé ça tout seuls? Et ça vous a
seulement pris une enquête auprès d’à peine 56 000 élèves, en plus de 4 800
éducateurs?
Qu’est-ce que vous êtes forts, dites donc! Quand je pense
que personne – vous entendez bien: PERSONNE! – qui a fréquenté une école
primaire n’aurait, de toute sa vie, pu imaginer une chose pareille!
En plus, il n’a suffi que d’une seule une chaire de
recherche universitaire pour se rendre compte de la chose…
Je me demande ce que ça prendra pour venir à bout du
problème.
Comme d’habitude, je ne suis pas inquiet. D’ici quelques
décennies – un siècle ou deux, tout au plus –, une autre chaire de recherche
universitaire aura probablement commencé à identifier des pistes d’approche
dans le but d’évaluer des hypothèses menant à l’élaboration de plans d’étude
possibles afin d’établir une démarche devant jeter les bases d’une éventuelle
intervention théorique afin d’envisager une résolution systémique de la
problématique différentielle sous-tendant l’affect sous-jacent dans
l’expression de comportements non désirés, et possiblement contre-productifs, le
tout en respectant une perspective sociétale unitaire.
Bref, il n’y a pas à s’en faire. Les universitaires veillent!
Et avec quel panache, en plus!
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