jeudi 1 septembre 2011

Pervers prospères

Le Conseil du patronat a donné à peine la note de passage – un «C» – à la province de Québec, quant à son niveau de prospérité.

Pour une fois qu’il donne quelque chose, on ne va pas trop se plaindre…

Le Conseil critique principalement le faible taux de graduation au premier cycle universitaire, un salaire minimum trop élevé et, bien entendu, une charge fiscale trop lourde pour les entreprises, entre autres travers marqués de la société québécoise.

Quand les exploiteurs de tout poil se disent insatisfaits, ce doit être parce que, collectivement, nous faisons quelque chose de bien.

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