Deux langues valent mieux qu’une. Photo: Melinka, via Wikimédia
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Si les personnes âgées ne comprennent pas toujours le sens d’une conversation, ce n’est pas forcément à cause du sujet abordé ou d’une ouïe défaillante. La perte de capacité à saisir rapidement les mots est une conséquence naturelle du vieillissement, mais qui semble moins concerner les bilingues.
Une étude de l’université de Concordia, rapportée par Planet Techno Science, montre que les cerveaux bilingues ont des stratégies de compréhension du langage qui pallient les déficiences biologiques.
Le cerveau des bilingues vieillit mieux
Slate.fr, 22 avril 2011
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