Est-ce une sorte de cimetière des éléphants blancs? Est-ce une sorte de pacage où on place les pires incompétents vaguement fascisants afin d’éviter qu’ils se retrouvent à des postes importants où ils pourraient faire des ravages? Est-ce une illustration du principe de Peters voulant que les gens s’élèvent jusqu’à atteindre leur niveau d’incompétence, de sorte que certains ne peuvent aspirer, en politique, qu’à la scène municipale?
Entékâ…
Je ne puis m’empêcher de noter qu’on retrouve à la mairie d’importantes villes du Québec – et même d’Ontario – une surprenante brochette de tarlais, de tapons, de têteux et de tatas. Imbus d’eux-mêmes et – pour une raison qu’on ignore – assurés d’être intouchables, ils n’en font qu’à leur tête, et ce, à grands coups de gueule.
Le dernier en date? Rob Ford, que Toronto a élu maire. Maudit bon gars!
Même Mel Lastman l’aurait trouvé charismatique…
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