Peut-être pas encore, mais le mandat du juge Michel Bastarache s’annonce houleux. Il a été choisi pour présider la commission devant enquêter sur les allégations de favoritisme – pour ne pas dire de corruption – dans la nomination des magistrats au Québec.
Ancien juge de la cour suprême du Canada, son honneur Bastarache a la réputation d’être un ardent défenseur des droits linguistiques des minorités.
N’est-il pas étrange qu’on ne fasse appel à ses services que dans le cas des causes perdues?
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