Une révélation: Jackson Pollock — que certains considèrent comme le plus grand de tous les artistes américains — a caché son nom tracé en grosses lettres parmi les gouttes, les taches, les dégoulinures et les barbouillages de sa célèbre toile Mural, réalisée en 1943 pour Peggie Guggenheim.
La découverte, purement accidentelle, appartient à Marianne Adams, historienne de l’art. C’est au petit déjeuner, en admirant une reproduction de l’oeuvre, que deux ou trois lettres lui sont apparues, camouflées sous la macule. Éventuellement, la signature complète est déchiffrée. Les spécialistes de l’art sont étonnés: Le truc est passé inaperçu pendant 66 ans!
Certains diront que l’artiste s’amusait, mais la relecture de l’oeuvre indiquerait que le graffiti a servi de base et de structure imposée autour de laquelle la toile fut élaborée. Un clin d’oeil du maître, peut-être, mais c’est aussi le geste qui l’a guidé.
Inutile de dire que toutes les oeuvres de Pollock sont maintenant soumises au décodage. Quels secrets cachent-elles?
1 commentaire:
Un artiste qui signe sa toile?
Dans quel monde vivons-nous!...
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