Ingrid Betancourt, martyre de la paix, de la justice et de la liberté, vient d'être honorée par l'auguste Assemblée nationale du Québec. L'ancienne otage détenue par les Forces armées révolutionnaires de la Colombie, des marxiss, est devenue de facto le symbole de l'avenir de son pays depuis son enlèvement et, surtout, sa libération.
À l'époque de sa campagne présidentielle, en 2002, elle voulait lutter contre la corruption, c'est-à-dire mettre en place un système politique semblable au nôtre, où les caisses électorales sont garnies par les patrons et non par les barons de la drogue. Chère Ingrid, qui croyez-vous sont les patrons en Colombie?
Mais que le président de ce pays se rassure, désormais. La détention de Mme Betancourt lui a permis de méditer sur son avenir. N'a-t-elle pas commenté favorablement les efforts d'Alvaro Uribe concernant la sécurité nationale, après sa libération?
Il y a peu de risque pour lui qu'elle retourne faire de la politique.
Pas assez glamour?
samedi 26 septembre 2009
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire