Débordé par l’ampleur des manifestations se déroulant actuellement sur son territoire – et même à l’étranger – le gouvernement des Stazunis cherche désespérément une sortie de crise. Évidemment, ce n’est pas évident. Surtout avec la collection de pantins, de lèche-bottes et d’incompétents qui engorge les hautes sphères de l’État.
Un des moyens privilégiés est bien entendu de discréditer l’adversaire. Pour ce faire, le ministère de la Justice (DOJ) yankee, encouragé par toute la droite, a entrepris de lancer une enquête afin de déterminer si la violence des manifestations est coordonnée en sous-main par un groupe quelconque. Or, il appert nettement, aux yeux de l’observateur impartial, qu’il y a effectivement une organisation à l’origine de la plupart des événements violents qui secouent actuellement les Stazunis.
Cette organisation porte d’ailleurs un nom qui laisse plutôt sceptique tant il est vrai que le terme sonne comme un mauvais calembour. Elle s’appelle la «police» (sic).
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