vendredi 15 mai 2020
Le coup du latin
Le confinement a amené la fermeture des cafés, bars, bistrots et restaurants. La plupart de ces commerces se sont retrouvés dans une situation difficile avec l’arrêt partiel de l’activité économique et, surtout, l’interdiction faite aux rassemblements. Seule planche de salut pour ceux qui offrent des plats préparés: la livraison.
Or, il existait déjà des services de livraison; par exemple, Uber Eats et Skip the Dishes, entre autres. J’attire brièvement l’attention sur le fait que les raisons sociales de ces entreprises démontrent l’étendue de leur respect envers les cultures locales. Évidemment, ces services n’étaient pas gratuits et les coûts afférents doivent être couverts par le commerce faisant affaire avec eux. Dans un contexte de crise sociosanitaire, on aurait pu s’attendre à ce que tout le monde y mette du sien.
Erreur.
Ce type d’entreprise exige de la part des commerçants une commission oscillant entre 25 et 30 pour cent sur les factures. Bref, une arnaque de la part de multinationales sans scrupules, comme le sont toutes les multinationales.
En terminant, un petit aparté. Je ne savais pas que le mot «uber», en latin, signifie «mamelle». Un téton, quoi. Comme dans l’expression «téton salaud» que, du coup, je viens d’inventer.
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire