Le pape Frankie Ier Berlingoglio a indiqué l’autre jour «qu’il
fallait savoir dire non à toutes les drogues» sans exception, y compris à
celles dites «douces».
Bref, pas de poudre, pas de pot.
Ce bon gros pape est même allé plus loin en affirmant que les
légalisations de la marijuana, même partielles «ne produisaient pas les effets qu’on
leur avait fixés (sic) sans compter qu’elles sont très discutables sur le plan
législatif».
Curieux, on pourrait dire exactement la même chose des lois
qui interdisent l’usage des drogues. Enfin, passons…
En outre, le pape a ajouté que «la drogue est un mal [NDLR: le
grand mot était lâché!] et avec le mal on ne peut faire des concessions ou des
compromis».
Curieux, moi je n’ai jamais entendu parler de poteux qui
violaient des enfants. Peut-être Frankie devrait-il se garder une petite gêne
et rester humble.
Au moins à moitié aussi humble qu’il prétend l’être.
Frankie Ier, dans les ruelles sordides, préfère fumer son pot à la pipe à eau, plutôt qu’au joint. |
2 commentaires:
Le complément d'objet direct étant placé avant le verbe (effets), fixé s'accorde ici avec celui-ci (fixés). Le texte est donc correct.
Jack
Ah mais, le «sic» faisait référence aux effets. Oui, car on ne «fixe» pas des effets. On les espère, on les subit ou on les constate. Mais on ne les fixe pas.
On fixe une jolie fille – ou un bel homme, pourquoi pas? –, un vélo ou on «pogne un fixe». Mais on ne «fixe pas des effets»...
Hu! Hu! Hu!
Enregistrer un commentaire