Imaginez un film d’épouvante mettant en vedette l’iconique ours de Russie. L’été torride a eu raison des champignons, des baies et des racines dont l’animal s’alimente. Chassé des dépotoirs et des jardins de banlieue, l’ours a trouvé une nouvelle source d’approvisionnement, les cimetières, qu’un expert du World Wildlife Fund a comparé à d’énormes frigos à accès libre.
Les options de sépulture se reduisent désormais au choix entre la crémation ou le buffet froid.
Via The Guardian
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