Michaëlle Jean, la gouverneure générale du CAnada que Paul Martin avait choisie pour mousser sa propre popularité, achève son mandat qui l’a amenée à représenter un monarque étranger à titre de chef de l’État et de commandant en chef de vos troupes.
Évidemment, on est en droit de penser que le fédéral va lui dénicher une sinécure quelque part. Sinon, on peut imaginer que, pour se trouver une vraie job, elle va peut-être décider de redevenir souverainiste, comme dans le bon vieux temps où son mari était obligé de guidouner pour gagner sa vie.
Comme l’avait si bien dit à leur propos Pierre Falardeau à l’époque, la raison d’être des arrivistes est d’arriver. Ni les scrupules ni la loyauté n’ont à y voir quoi que ce soit.
Quant à son successeur, au moins lui c’est un CAnadien pur jus, et pas un collabo.
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