Photo: Rick Harris, via Wikimedia
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C’est à une véritable braderie que sont conviés les promoteurs de tout acabit. Les terres les plus fertiles, concentrées en grande partie dans la région de Montréal, sont vendues aux plus offrants depuis des décennies, et ce, dans l’indifférence générale.
Bon an mal an, la province perd - à tout jamais - près de 4000 hectares de terres agricoles, au profit d’autoroutes, d’entrepôts, de centres commerciaux et de lotissements résidentiels.
Tous les 10 ans, on assiste ainsi à la disparition de bonnes terres cultivables d’une superficie équivalente à l’île de Montréal...
Terres agricoles à vendre
François Cardinal, La Presse, 9 juin 2010
1 commentaire:
Oui. Et c'est sans compter toutes les terres qui passent sous contrôle étranger. Pour les Chinois, entre autres, qui peinent à nourrir leur monde, le prix de la terre, ici, c'est une aubaine incroyable.
Si ça continue, on va importer notre riz de là-bas...
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