L’armée cAnadienne, depuis le «scandale» qui a impliqué le commandant en chef de sa force d’invasion en Afghanistan, est plus que jamais décidé à empêcher les relations sexuelles entre ses membres. Et je n’utilise pas le terme afin de laisser planer quelque sous-entendu mesquin relativement à l’orientation des principaux intéressés.
Cela n’a rien à voir avec un préjugé quelconque, sinon à l’encontre de toute forme de rapport sexuel quel qu’il soit, comme aux plus belles années de la Grande Noirceur. On est d’ailleurs en droit de se demander présentement si le CAnada – et nous avec – sommes en train d’y retourner, ou peut-être n’en est-on jamais vraiment sorti.
Bref, l’armée veut réprimer tout élan charnel au sein de ses rangs, un combat perdu d’avance, selon les experts. Pas besoin d’être grand manitou pour savoir qu’effectivement cette ambitieuse idée est vouée à l’échec. Pas besoin d’être la tête à Papineau non plus pour savoir que l’armée cAnadienne est une habituée des combats perdus d’avance.
Sauf évidemment contre des civils désarmés…
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