jeudi 24 décembre 2009

Tintin chez les Na’vi

Les critiques voient dans le film Avatar de James Cameron une épopée extraterrestre, une sorte de version fantastique de Danse avec les loups: l’histoire d’un mec blanc qui s’entiche d’indigènes et finit par devenir leur grand chef. Mais, en fait, Avatar est juste la dernière mouture SF d’un vieux fantasme de culpabilité blanche. Attention ce qui suit va révéler des éléments de l’intrigue...

Quand les Blancs arrêteront-ils de faire des films comme Avatar?
Annalee Newitz, Mélamine, 22 décembre 2009

1 commentaire:

Nicolas Klass a dit…

Bref, blancs ou autrement, il faut toujours que ce soit un Blanc qui mène le monde...

C'est plus crédible s'il parle anglais, d'ailleurs.