Un à zéro pour les climat-sceptiques? Non, mieux que ça: échec et mat. Carrément. Car si les changements climatiques étaient une vraie menace, les dirigeants du monde réunis à Copenhague y auraient vu, c’est sûr. S’il y avait eu une réelle urgence, ils auraient fait quelque chose dès maintenant, ça crève les yeux. Pour croire le contraire, il faut vraiment être sceptique. Pas climat-sceptique, sceptique tout court. Car les climat-sceptiques ne doutent de rien, eux. Et heureusement qu’ils sont convaincus, car l’avenir leur appartient. Maintenant, tout le monde voudra devenir climat-sceptique. C’est nettement plus confortable et beaucoup moins compliqué. La cerise sur le gâteau, c’est qu’on n’a même plus à se poser de questions, puisqu’on possède désormais la certitude innée du climat-sceptique pour nous blinder le mental.
En tout cas, ça fait toujours bien une autre affaire de réglée. 2009 n’aura pas été une perte totale, après tout. Et en avant 2010!
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