La United Nations Educational, Scientific and Cultural Organization – aussi connue sous le sigle UNESCO – a pondu un rapport, dernièrement. Et il y a de quoi être fier.
Tandis que les problèmes structurels de tant de nations en matière d'éducation et de culture foisonnent partout sur la planète, cette digne organisation a pris le temps de se pencher sur le cas du Québec. Pas pour le féliciter, bien entendu, mais pour monter en épingle – et pour dénoncer, il va sans dire – le conspirationnisme qui y sévit.
Le rapport, chapeauté par trois universités québécoises, vise principalement à discréditer tous ceux qui remettent en question le discours dominant. Il prend même soin de les répartir selon des catégories précises, comme la radicalisation, l'extrémisme violent et – tenez-vous bien – la divergence d'opinions.
Eh oui, aux yeux de l'UNESCO et de quelques analystes universitaires, il est plus que suspect d'entretenir une opinion différente de celle qui est véhiculée par les pouvoirs en place.
Parlant de véhicule, pourquoi personne n'a-t-il soulevé dans ce rapport que c'est à Ottawa – c'est-à-dire au CAnada – que les conspirationnistes ont foutu la merde, l'hiver passé? Sans doute un oubli de mauvaise foi.
Cette bonne blague! le document aurait été rédigé par un quelconque parti politique fédéraliste cAnadien qu'il n'aurait pas été différent!
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