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Dans le sillage de la rencontre Joe Bidon-Vladimir Poutine, il est de mise de se pencher sur la nature de la relation entre les pays qu'ils représentent.
Essentiellement, cela tient à une seule chose: la peur. Les Stazunis ont toujours présenté l’Union soviétique, d’abord, puis la Russie, ensuite, comme une menace, voire un agresseur. C’était un peu fort de café de la part d’un pays qui a envoyé des troupes occuper des territoires sur tous les continents; et même en Russie bolchévique.
Quand on pense que, systématiquement, les Stazunis ont enfreint pratiquement tous les accords conclus avec les Russes depuis la fin de la Deuxième Guerre mondiale, qu’il s’agisse des traités portant sur le désarmement ou quant à l’expansion de l’OTAN, et ce, sans compter la ribambelle de sanctions économiques appliquées sous n’importe quel prétexte et les accusations, la plupart du temps sans fondement, formulées par des Yankees qui n’ont de leçons à donner à personne.
Finalement, qui est l’agresseur? N’importe quelle petite brute de cour d’école vous le dira: c’est celui qui se défend.
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