On aurait pu croire qu’un vaccin efficace à 90% aurait eu un impact démultiplié dans le cadre d’une cellule familiale. Mais, selon une étude britannique, il n’en est rien.
En fait, à la suite d’une première dose de vaccin, les personnes traitées seraient 50% moins susceptibles de transmettre le virus à leurs proches. Il est à supposer que ces personnes soient les seules de leur famille à avoir été vaccinées, ce qui semble plutôt contre-intuitif. De même, il faut penser que, lors de l’injection de la seconde dose, ce chiffre doit croître au moins un peu. De toute manière, il semble que l’on doive comprendre que le vaccin, s’il protège à 90% la personne traitée, ne protège qu’à moitié les membres de son entourage.
Nonobstant les réserves exprimées ci-dessus, les «experts» de la santé se sont réjouis de l’efficacité des vaccins, allant même jusqu’à annoncer qu’ils avaient permis de sauver des milliers de vies.
La nouvelle a dû rassurer Boris Johnson, le sémillant premier ministre, qui aurait mieux fait, si la chose devait s'avérer vraie, de garder sa langue de bois dans sa poche, plutôt que de diviser davantage la population de son pays.
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