Dimanche dernier, alors que les manifestants étaient proches de la Maison-Blanche, le service de sécurité présidentiel a emmené Donald Trompe dans le bunker souterrain. À l’instar d’Adolf Hitler, en 1945, le chef des Yankees a pu attendre la fin de l’affrontement qui se déroulait en surface. Quoique d’aucuns déploreront cette situation, le commandant en chef de la plus grande puissance militaire de la planète a fini par prudemment émerger de sa cachette en toute sécurité, quelques heures plus tard.
L’affaire fut rendue publique par le New York Times, au grand déplaisir de M. Trompe lui-même. Ce dernier a fini par nier la nouvelle en rectifiant les faits à son avantage, sans apporter aucune preuve de sa version, bien entendu. Selon lui, sa visite dans le fameux bunker avait eu lieu, non pas au moment de la manifestation, mais plus tôt au courant de la journée. De plus, il n’y était resté qu’un court moment, et ce, afin d’y mener une inspection.
Rendons hommage au chef des Stazunis qui, totalement inapte aux responsabilités présidentielles, s’est quand même trouvé un petit boulot d’inspecteur en bâtiment.
Et dire que certains le trouvent oisif! Ce que c’est que la mauvaise foi, quand même.
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