Décidément, je ne puis relâcher ma surveillance deux minutes. Dès que je m’absente un malheureux petit week-end, tout fout le camp. Émeutes raciales aux Stazunis, le déconfinement qui tarde, les faillites qui se multiplient et la récession qui s’annonce. Sans compter, évidemment, les difficultés que rencontre actuellement André Boisclair, l’ancien chef du Parti québécois.
En effet, dans son cas, il est question d’agression sexuelle armée. On comprend à demi-mot que l’arme en question n’était pas seulement un appendice quelconque. Cependant, on ne connaît pas les détails de cette histoire qui remonterait à 2014 et qui demeure nébuleuse à plus d’un titre.
Compte tenu de son passé politique, et afin d’éviter toute crise identitaire, il reste à espérer que sa victime n’était pas une anglophone.
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