Vendredi dernier, un missile tiré par des paramilitaires irakiens en direction d’une base yankee a causé la mort d’un «sous-traitant» états-unien. Dit plus simplement, des djihadistes ont tué un mercenaire.
Évidemment, les Yankees n’ont eu d’autre choix que de mener leurs éternelles – et infructueuses – représailles. Des chasseurs-bombardiers sont allés pilonner des bases du Hezbollah dans l’ouest du pays et en Syrie. Le bilan officiel de cette action fut de 19 morts.
Dans ces histoires, on compte assez peu souvent les blessés, les traumatisés et les autres estropiés.
Pour sa part, le Pentagone a signifié que ces raids visaient à «affaiblir les capacités des brigades du Hezbollah à mener de futures attaques».
S’ils étaient un peu moins balourds, les Yankees «affaibliraient» leur adversaire avant d’en subir les attaques.
Mais bon, s’ils étaient vraiment malins, ils ne seraient pas là, non plus.