Nous savons tous à quel point, depuis plus d’une décennie,
la sécurité collective est devenue une obsession. La crise environnementale, la
crise alimentaire, les crises économiques et les différentes épidémies ont
toutes pris l’arrière-scène. Ce qui compte, depuis que les Stazunis ont semblé
subir une attaque terroriste, c’est la sécurité, toute la sécurité et rien que
la sécurité.
[NDLR : Le conditionnel est employé relativement au
fameux onze-septembre simplement parce que la version officielle ne tient pas
debout.]
Que la sécurité soit devenue une considération de premier
plan pour les bourgeois, leurs pantins qui nous dirigent et les électeurs qui
croient que l’assurance maladie est un complot communiste, on le comprend
facilement. Jusqu’à maintenant, les présidents et les premiers ministres
pouvaient toujours compter sur la force militaire, les mercenaires, la police
secrète et celle qui l’est moins afin de garantir la sécurité de tous… ceux qui
en valent la peine. Or voici qu’une récente déclaration de Barack Hussein Obama
insinue un doute sur ce chapitre.
Selon lui, il devient important de réclamer plus de sécurité
pour les soldats. Alors s’il faut protéger les soldats, qui va-t-on envoyer se
faire péter la suce dans d’accueillantes terres étrangères?
On pourra toujours envoyer des civils. C’est pas ça
qui manque.
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